tolerance au froid C. australis: -15°C selon A.R.T, -23°C selon d’autres sources,
C. occidentalis: -40°C
H.20m selon PFAF (25m selon ART)/l.10m (ou l.20m pour C.Occidentalis)
feuilles: caduques (ideal proche habitation bioclimatique)
Au soleil, en cohérence avec sa hauteur. (PFAF, A.R.T.)
tous sols et PH, supporte sécheresse et pauvres sols.
Contradiction concernant les sols lourds: Pfaf ne les inclue pas dans ses tolérances, tandis que d’autres sources les incluent:
https://mlpaysagiste.com/plantes/celtis-occidentalis/
https://www.jardin2m.com/vegetaux/fiche/14639/arbres/celtis-occidentalis-micocoulier-occidental/
et encore d’autres sources disent n’importe quoi (comme une rusticité limitée à -7°C… Alors qu’ils ont très bien survécu à un -17 ici; et sont estimés à -23 et -40!) mais une semble donner une réponse pour mettre d’accord: « tous sols ingrats dès lors que suffisament drainés », donc lourd peut-être, mais pas une flaque qui garderait trop d’eau..
JD: Je propose des graines de celtis nains
, car Attention, australis et occidentalis et aussi sinensis etc, sont à considérer comme des pionniers à ne pas introduire dans la nature, car trop hauts envahissants et trop peu intéressants sur le plan alimentaire (baies trop hautes inaccessibles, puis tombées au sol difficiles à trouver et peu charnues).
Pionnier: pour faire de l’ombre sur des terrains incultes et secs en plein soleil, afin de permettre ensuite la réussite de semis d’autres arbres dans l’ombre des Gleditsia et Celtis. DANS CETTE OPTIQUE le nain est préférable, car moins haut, pourra ainsi se faire dépasser par les autres arbres. Le pionnier exigeant du soleil, il laisse ensuite la place aux arbres dont il a permis l’implantation grâce à son ombre. Il est donc important de choisir des pionniers nains.
En permaculture on préfère les pionniers Fabacées qui produisent elles-mêmes l’azote dont elles ont besoin, afin de ne pas en priver les voisins. Le Celtis ne présente pas cet avantage. Un apport d’urine serait utile pour compenser la consommation d’azote du Celtis.
C. trinervis 7,5mm, graine 5,3mm, sucré mais un goût bof. Supporte -13°C et probablement bien plus froid.
Celtis caucasica 7mm, graine 5mm, goût le + neutre, l’un des 2 sujets de caucasica était le plus tardif de la collection de celtis: peut être consommé en oct ET nov. Tronc parfois très particulier, pas cylindrique du tout. Supporte -15°C et probablement bien plus froid.
Celtis glabrata: 8,5mm, graine 5,3mm, très peu consommable: passe sans nuances du jaune dégueu au noir moisi.. en nov. Supporte -13°C et probablement bien plus froid.
C. pallida et tenuifolia (dans tableau ci dessous; voir tolérances au froid en colonne de droite): je les ai pas vus ni goûtés, mais peux en grouper l’achat (11€ les 5 grammes ou échantillon à prix libre)
Celtis Occidentalis:
Fruitier estimé peu intéressant par Yann Fanch, compte tenu sa hauteur et la place qu’il prendrait sur d’autres fruitiers plus productifs. Noté 3 sur 5 par PFAF. JD et Yuhong trouvons le fruit bon (meilleur que datte car moins sucré) mais peu charnu.
Fruit très doux et agréable, souvent produit en abondance en Grande-Bretagne, il est de la taille d’un cassis, mais il ya très peu de chair autour d’une grosse graine [K]. Le fruit est orange foncé à pourpre ou bleu-noir à maturité, habituellement d’environ 7-11mm de diamètre, bien que parfois jusqu’à 20 mm [270]. La chair est sèche et farineuse, mais avec un goût sucré agréable [K]. Semences [57]. Pas plus de détails. Les fruits et les graines peuvent être broyées finement ensemble et utilisés comme assaisonnement [161, 183]. Les Indiens d’Amérique N. mangèrent avec du grain rôti [183].
Les utilisations médicinales: Toujours demander conseil auprès d’un professionnel qui peut avoir un avis pertinnament différent dans votre cas précis. Un extrait obtenu à partir du bois a été utilisé dans le traitement de l’ictère [226]. Une décoction de l’écorce a été utilisée dans le traitement des maux de gorge [257]. Lorsqu’il est combiné avec des coquilles en poudre, il a été utilisé pour traiter VD [257].
Un colorant est obtenu à partir des racines [61]. Plus de détails sont donnés. Assez tolérant au vent, il peut être planté dans le cadre d’un brise-vent [200]. Bois – plutôt molle, faible, à grain grossier, lourd. Il pèse £ 45 par pied cube et est parfois utilisé dans le commerce pour des meubles pas cher, placage, de carburant d’escrime, etc [46, 61, 82, 171, 227].
Celtis Australis:
Les utilisations médicinales: Toujours demander conseil auprès d’un professionnel avant d’utiliser des plantes. Il peut avoir des avis différents et pertinents dans votre cas précis.
Astringente; Adoucissante; Stomachique.
Les feuilles et les fruits sont astringentes, adoucissantes et stomachique [7, 254]. Les feuilles sont réunis en début d’été et séchées pour une utilisation ultérieure [7]. Le fruit, en particulier avant qu’il ne soit complètement mûr, est considéré comme plus efficace en médecine [254]. Une décoction de deux feuilles et les fruits est utilisé dans le traitement de l’aménorrhée, des règles abondantes et des saignements intercurrents et les coliques [218, 240]. La décoction peut également être utilisé pour astringe les muqueuses dans le traitement de la diarrhée, la dysenterie et d’ulcères gastro-duodénaux [254].
Détails de culture (applicables à ces 2 celtis):
Préférable de semer dès que les graines sont mûres [200]. Les graines stockées réusissent mieux après 2 – 3 mois de stratification à froid, puis semer Février / Mars [78, 200]. Les taux de germination sont généralement bons, bien que la graine stockée pourrait prendre 12 mois ou plus à germer. La graine peut être stocké pendant jusqu’à 5 ans [113]. Les feuilles de plants ont souvent beaucoup de taches blanches sans chlorophylle, ceci est normal et les plantes plus âgées produisent des feuilles vertes normales.
Réussit à toute assez bonne terre, drainée limoneuse [1, 11, 200]. Réussit sur graviers secs et sur des sols sableux [200]. Cette espèce nécessite des hivers doux, si elle veut réussir [3]. Arbres préfèrent des étés plus chauds et plus de lumière que sont normalement connu en Grande-Bretagne, souvent, ils ne mûrissent pas pleinement leur bois lors de la croissance dans ce pays et ils sont alors très soumis au dépérissement en hiver [1, 11, 200].
Comparaison avec d’autres celtis (tous résistants à la sécheresse):
Search for : celtis
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
Une réponse sur “Comparatif Celtis (micocoulier)”
Les commentaires sont fermés.