Etude, découverte, comparatif, semis et achat groupé d'environ 125 ESPECES DE FRUITS reproductibles par graines (ne nécessitant pas de greffe), connus ou rares. Choisis pour leur douceur parmi des centaines la plupart sauvages comparés ici dans + de 50 tableaux. 10 fructifient en forêt (OMBRE TOTALE)! Certains résistent à la sécheresse! Grâce au "semis direct", ils réussiront mieux et exigeront moins d'eau. ……Pour lire la suite, fais glisser cette page vers le haut…
Publication à venir. En attendant, demandez la liste sur le formulaire de contact
Elle est assez claire, avec une colonne par critère, des prix, densités, délais…
Précurseurs, la prune et l’abricot acceptent de germer et pousser en provence directement aux emplacements définitifs et sans arrosage. Même en terrain pauvre et en plein soleil…
L’abricot ne pousse ni ne fructifie à l’ombre d’un autre arbre ok, mais supporte des sols les plus calcaires mieux que le pêcher.
Pour l’abricot (P. armeniaca):
PFAF indique au contraire: Nécessite un sol fertile rétention d’humidité bien drainé dans une position chaude et ensoleillée [11, 200]. Réussit à l’ombre légère, mais les fruits mieux dans une situation ensoleillée [200]. Prospère dans un sol limoneux, bien faire le calcaire. [11] Préfère la craie dans le sol, mais est susceptible de devenir chlorotique si trop est présent [11]. Préfère un pH dans la plage de 6,5 à 7,5 [200]. Aversions sols argileux [37, 61]. Intolérantes des sols salins [200]. Les arbres laissent tomber leurs bourgeons de fruits s’il y a une sécheresse estivale [200]. L’abricot est largement cultivé pour ses fruits comestibles dans les zones tempérées thathave étés longs et chauds, il y a beaucoup de variétés nommées [183, 200]. L’arbre est parfaitement rustique en Grande-Bretagne, mais il fleurit habituellement très tôt au printemps et les fleurs sont alors susceptibles d’être détruits par le gel. [11] Il faut vraiment un climat plus continental (avec ses saisons définies CLAIREMENT) que reçoit en Grande-Bretagne. CEPENDANT, si on leur donne l’avantage d’un mur exposé au sud ou à l’ouest et une certaine protection contre le gel Quand il est en fleur, les cultures raisonnables peuvent être produites dans le sud de l’Angleterre Habituellement [1, 219]. Les plantes sont auto-fertiles [200], mais la pollinisation manuelle serait souhaitable car ils fleurissent normalement avant que de nombreux insectes pollinisateurs sont actifs. En Grande-Bretagne les abricots sont cultivés habituellement sur les racines prune tocks, St. Julien A « est le plus largement utilisé [200]. Le porte-greffe nanisme « Pixie » est donc une possibilité, mais cela doit être le double travaillé avec St. Julien A « Parce qu’il est incompatible avec les abricots [200]. Toute taille doit être effectuée à l’été pour permettre une guérison rapide et donc moins le risque d’infection [201]. L’avoine ne devrait pas être cultivé près des abricots parce que leurs racines ont à effet antagoniste sur les racines de l’abricot [201]. Les tomates et les pommes de terre sont si mauvais compagnons pour les abricots [201]. Si capucines (Tropaeoleum spp) sont cultivés dans les abricots theywill font le fruit moins acceptable pour les insectes, bien que ce n’est pas détectable par le palais humain [201]. La plupart des membres de ce genre sont des racines peu profondes qui produiront des rejets si les racines sont endommagées [238]. Les plantes de ce genre sont notamment sensibles aux champignons de miel [200]. Particularités: comestible, non originaire d’Amérique du Nord, tout ou partie de cette plante sont toxiques, des fleurs parfumées, fleurs attrayantes ou fleurs. propagation Seed – nécessite 2 – stratification à froid 3 mois et est Semer dans un cadre froid dès qu’il est mûr [200]. Semer stocké dans un cadre froid au début de l’année que possible [200]. Protéger la graine de souris, etc. La graine peut être assez lente, parfois jusqu’à 18 mois pour germent [113]. Repiquer les plants dans des pots individuels quand ils sont assez grands pour manipuler. Cultivez-les dans une serre ou un cadre pour leur premier hiver et les planter à la fin du printemps ou début de l’été de l’année suivante. Boutures de bois mi-mûr avec un talon, Juillet / Août dans un cadre [11, 200]. Difficile [113]. Les boutures de plantes en forte croissance au printemps au début de l’été dans un cadre [200]. Difficile. Superposition au printemps.
Pour le pêcher (Prunus persica), PFAF indique:
Nécessite une humidité du sol bien drainé rémanent [1, 11]. Prospère dans un sol limoneux, bien faire le calcaire. [11] Mieux vaut ne pas cultivés dans des sols acides. Préfère la craie dans le sol, mais il est susceptible de devenir chlorotique si trop est présent [1]. Préfère un pH dans la gamme de 6 à 7 [200]. Réussit à l’ombre légère, mais les fruits mieux dans une situation ensoleillée [11]. Nécessite un abri contre les vents nord et nord-est [11] et donc du gel de ressort [200]. Largement cultivé pour ses fruits comestibles dans les zones tempérées chaudes et climats continentaux, il existe de nombreuses variétés nommées [183]. Il existe de nombreuses divisions des variétés accor ding à la couleur de la peau, etc. Peut-être le plus utile du point de vue des mangeurs est Que ce soit en pierre de taille (les parties de chair facilement de la graine) ou accrochons-pierre (la chair Adhère à la semence ) [200 K]. Les arbres sont normalement rustiques en Grande-Bretagne du sud [11], tolérer des températures jusqu’à -20 ° C quand ils sont en sommeil [184], mais ils nécessitent une certaine protection si les cultures doit être du tout fiable. [11] Ce ne tient pas tant à un manque de résistance au froid, plus les étés plus frais en Grande-Bretagne qui ne mûrissent pas entièrement le bois et le fruit, ainsi que les hivers imprévisibles et les sources qui, dans un charme doux, peut exciter l’arbre en floraison prématurée et la croissance tout ce qui est alors très susceptible d’endommager dans toute la suite de la vague de froid. La pollinisation manuelle à ce moment peut améliorer nouaison [200]. Le cultivar « Rochester » est plus probable que la plupart des cultivars de réussir en plein air en Grande-Bretagne [200]. En général, il est préférable de pêches du site dans une position ensoleillée abritée très chaud, de préférence contre un mur plein sud ou à l’ouest [200, 219]. La plupart des cultivars sont [200] autofertile. Les arbres sont souvent greffées sur prune ou d’autres racines tocks mais on dit être mieux Cultivée sur leurs racines propres en Grande-Bretagne du Sud. [11] Les arbres ne sont pas rallye génétique à long terme [200], cela est en partie à cause de la nécessité de l’arbre pour produire un approvisionnement constant de bois neuf, puisque la plupart des fruits est formé sur le vieux bois d’un an (bien que certains lambourdes sont FORMÉ) [200 ]. L’ail est un bon compagnon pour ce plan, en aidant à prévenir la maladie, l’amour cloque du pêcher en particulier [20, 201]. Tanaisie cultivé les pêchers ci-dessous contribue à les maintenir en santé [201]. cloque du pêcher peut donc être Empêché en protégeant les plantes d’hiver et au début des pluies de printemps, peut-être en les recouvrant en plastique [200]. Les plantes cultivées à l’intérieur ou hivernent ne souffrent pas de la cloque [260]. La plupart des membres de ce genre sont des racines peu profondes qui produiront des rejets si les racines sont endommagées [238]. Les plantes de ce genre sont notamment sensibles aux champignons de miel [200]. Particularités: comestible, non originaire d’Amérique du Nord, tout ou partie de cette plante sont toxiques, des fleurs attrayantes ou fleurs. propagation Seed – nécessite 2 – stratification à froid 3 mois et est Semer dans un cadre froid dès qu’il est mûr [200]. Semer stocké dans un cadre froid au début de l’année que possible [200]. La graine stockée est préférable d’administrer deux mois à chaud suivi de 3 mois de stratification à froid [113]. Protéger la graine de souris, etc. La graine peut être assez lente, parfois jusqu’à 18 mois pour germent [113]. Repiquer les plants dans des pots individuels quand ils sont assez grands pour manipuler. Cultivez-les dans une serre ou un cadre pour leur premier hiver et les planter à la fin du printemps ou début de l’été de l’année suivante. Boutures de bois mi-mûr avec un talon, Juillet / Août dans un cadre [11, 200]. Un très faible pourcentage [113]. Les boutures de plantes en forte croissance au printemps au début de l’été dans un cadre [200]. Superposition au printemps
Venez vous baigner dans l’eau de source claire et abondante – réemployés pour l’irrigation. Il y a donc de l’eau froide à 16°C, et de l’eau chaude à très chaude issue des panneaux solaires et d’un réservoir calorifugé.
Les vacances sont une bonne occasion pour venir faire cette expérience de communion avec la nature, au contact vivant de l’eau.
Aidez l’association, l’association vous donnera accès à un bain à réserver, car pour garantir la quantité largement suffisante d’eau chaude il y a cet été 1 seul bain garanti.
1 bain pour 1 ou 2 personnes (en se serrant…): quelle que soit la durée jusqu’à 1 journée à partir de 20€, dégressif jusqu’à 10€ soit 70€ pour 7 jours. On vous sert un smmootie banane. Vous amenez tout ce dont vous auriez besoin nourriture ou autres.
possibilité de bivouaquer et accéder à une cuisine pour 10€/nuit.
En 2016 nous n’avons pas eu besoin de remettre les moustiquaires car il n’y a presque plus de moustiques
L’eau est puisée dans une veine sous une paroi rocheuse de 5 mètres sous 40 mètres d’argile, dans une rivière souterraine de gros débit (issue des profondeurs selon sa température de 16°C au lieu de 12°C dans la plupart des sources) et ses galets. Analysée sans bactérie pathogène ni aucune tracede pollution (analyse préfecture 3 pages), et encore analysée récemment, mais une lampe UVC est quand même en service pour rassurer la mairie.
Une couleur blanche peut apparaitre au puisage. il s’agit de microbulles suite au changement de pression, elles disparaissent après quelques minutes.
Issue des alpes en abondance, une partie peut utilement irriguer directement ou indirectement le terrain, le principal va se jeter directement sous la mer.
Ici on l’utilise plusieurs fois en cas de bain: pour le plaisir et ensuite pour un bassin et/ou l’irrigation. A la fin du compte l’eau n’est jamais perdue, mais elle peut mettre plus ou moins de temps a retourner dans son cycle: retour direct a sa source ou evaporation-nuages-pluie-source. »Aix ville d’eau » n’est ainsi pas menacée par le manque d’eau. Ne pas la polluer est une priorité.
Penser la « gestion » de l’eau au cas par cas: il n’est pas toujours justifié de l’économiser ou la laisser couler. Tout dépend d’où elle vient et ou elle va, et si on la pollue ou pas. Par exemple dans le cas le plus simple si on la prend a la rivière en amont et qu’on la remet dans la rivière en aval, on peut laisser le robinet ouvert tout le temps sans impact négatif si on ne la sabote pas avec des polluants. J’entends souvent parler de « gaspillage » (ce qui est justifié dans certains cas de réserve limitée comme a toulouse ou las vegas), mais je préfère parler de « sabotage » ou de « respect ».
Irrigation et brumisation de tous les espaces possibles par temps chaud ou sec, grâce à cette eau souterraine abondante. 9 rivières sur 10 dans le département, sont souterraines et vont se jeter sous la mer.préférer l’aspersion de façon à entretenir l’humidité du sol et prévenir contre les incendies, mais sans gaspi: il est inutile de laisser couler l’eau 1H au pied d’une même petite plante, 15 à 30 secondes d’exclusivité lui apporterait suffisamment 5 à 10 litres d’eau, la terre ne pourrait en retenir davantage dans la zone de ses racines.
Les analyses trouvent l’eau potable y compris en amont de la lampe UV. J’ai remarqué que la procédure pour ceux qui viennent prélever l’eau à analyser, est de chauffer le col de cygne du robinet, avec un chalumeau! avant de prélever l’échantillon. Je crois qu’idéalement pour prélever une eau potable, il faut pas la prendre à l’évier (« col de cygne » en acier, au dessus de la vaisselle sale?) et préférer un robinet en cuivre, ce métal étant bactériostatique.
et paleo (propagande dont une partie trompeuse est analysée plus bas ici): Douce frugalité a traduit deux vidéos du Dr Greger, et invite à considérer ses arguments:
`1) Le problème de l’argument de l’alimentation paléo
2) Les régimes paléo neutraliseraient les bénéfices du sport
(index insulinique – de quelle période paléo ou préhistorique parle-t-on? 2 millions d’années de chasse pour survivre à la période glaciaire, contre 23 millions d’années d’alimentation végétale – glucides – protéines – etc)
Je suis végétarien depuis 25 ans, mais je me souviens m’être souvent « défendu contre cette étiquette », surtout agacé par les idées de mes interlocuteurs selon lesquelles je serais d’une grande rigueur disciplinaire, voire saint… « comment fais-tu? »… Je répondais que il se trouve que je ne mange pas de viande actuellement CAR je préfère le végétal. Il n’y a aucune espèce de mérite à cela. Un ensemble de raisons en a fait pour moi une évidence et un goût. Particulièrement mon admiration pour la complexité et le miracle d’un animal, l’intérêt de consommer les mêmes nutriments plus près de la source. Une préférence n’est pas une position catégorique, alors pourquoi je n’ai pas mangé une miette de viande depuis 25 ans? Parce que manger un peu de tout me parait une position catégorique, tandis que suivre ses goûts et sa sensibilité me parait plus naturel et sincère. Je devrais être capable d’abattre ce que je mange, dans une décontraction naturelle au moment du repas.
Je vois que le débat fait actuellement « fureur ». Fait nouveau, j’ai trouvé quantité de pages pro-omnivores en 1ers résultats des résultats de recherche avec le mot vegeta*ien. A mon époque, les végétariens étaient tournés en dérision et ne dérangeaient pas. Maintenant l’opposition est plus vive, à tel point qu’on voit des articles très longs pour « démonter » le végétarisme, ce qui révèle une réaction de défense contre quelque chose de dérangeant. Si c’est dérangeant, c’est peut-être
ou aussi parce que un certain film, selon ce que j’ai entendu dans des discussions de couloirs, aurait principalement culpabilisé l’omnivorisme, ce qui à mon avis serait une erreur à laquelle j’ai moi-même toujours renoncé (1).
Dans les 2 articles anti-végétariens que j’ai vus, il ressort dans les premiers mots ou dernier mot de l’article: « ethique », « moralisateur », … comme si c’était ce qui dérange le plus, et engendre tant de réaction pro-omnivore.
Comment accepter une telle remise en cause (mais condamnation) de l’omnivorisme, de quelque chose qui fait actuellement partie de sa vie, des habitudes avec lesquelles nous ont bercé les personnes qui nous ont tant aimées, nos parents?
il conclue rapidement que n’étant pas des ruminants nous serions désignés pour manger de la viande (en méconnaissant notre constitution de frugivores) (2)
il propose de sauver les forets en mangeant de la viande (3)
il écrit qu’il n’existerait pas de tryptophane végétal! (4)
(2) Des animaux se mangent entre eux, et ils le font mieux que nous, car naturellement et en totale adéquation avec leur sensibilité. Un réel omnivore ou carnivore ne sépare pas l’abattage de la dégustation: il mange des animaux vivants. Nous ne sommes pas constitués pour cela, pas même nos canines, voir tableau comparatif des anatomies frugivores, herbivores et omnivores…
(3) c’est alors seulement possible en augmentant d’ABORD les surfaces de forêt ce qui ne serait possible qu’en supprimant D’ABORD l’élevage pendant quelques décennies, puis en prenant un permis de chasse et c’est pas possible en achetant de la viande d’élevage qui détruit les forets pour produire du soja ou des paturages… On pourrait se nourrir (sans animaux) ET maintenir le milieu naturel des animaux en semant les fruits forestiers pour s’en nourrir, et les partager avec les animaux qui en aideraient la propagation. C’est le but de mon travail. Qui se résume dans un site web dont les mots de recherche sont fruitiers originels. Le veganisme n’augmente pas l’agriculture, au contraire il la divise par 7 en supprimant l’élevage. le frugivorisme appelle à planter ou semer des arbres …fruitiers A propos des céréales cet article prétend: « Des centaines d’espèces indigènes ont disparus ou été gravement réduits afin de nous permettre de nous nourrir de grains. » non, c’est pour nourrir les animaux d’élevage, il en faudrait 15 fois moins pour nous nourrir. quant aux paturages prétendument fantastiques, il en faudrait encore + de surface. Je veux bien croire ce que dit l’article que les paturages sont producteurs d’humus, parce qu’au lieu d’etre exporté, ce qui y pousse est transformé sur place: les pipis et cacas des animaux y sont réintroduits (sauf tout ce qui est transformé en CO2 et méthane), activant ainsi la croissance des herbes; à condition que les animaux n’y soient pas constamment, car sans animaux les herbes se composteraient sur place, produisant encore + d’humus. on ferait la meme chose avec des toilettes sèches, et la tendance naturelle des paturages serait de devenir des forets, encore plus écologiques si ce ne sont pas des monocultures de pins. Sa conception du cercle de la chaine alimentaire me semble naive en argumentant les bactéries, charognards et asticots qui nous mangeront: A notre mort nous ne sommes hélas pas introduits dans le cycle, mais incinérés ou enfermés dans du béton. et même si nous étions compostés, nous n’y introduirions que 70KG alors que notre meilleure contribution est les tonnes de pipi et caca produit tout au long d’une vie, si on fait des toilettes sèches. « arreter la mort tuera la vie »: comment ça? ne plus manger d’animaux nous tuerait, ou stopperait le cycle en nous maintenant en vie? à lire la suite on comprend que l’auteur pense que nous avons besoin de viande pour vivre.
(4) le tryptophane, une exclusivité animale? c’est faux:http://nutriments.monalimentation.org/tryptophane-legumes.html Aurait il pris cet argument dans le livre « le mythe végétarien » dont l’auteure met une dégradation de sa santé sur le compte de son prétendu ex-veganisme, sans étudier les erreurs qu’elle aurait pu comettre ailleurs ni dans son alimentation; ailleurs dans mon article j’ai analysé les contradictions qui m’amènent à penser qu’elle n’a jamais été végane. la position de l’OMS est formelle : les régimes végétariens et vegetaliens bien équilibrés sont excellents pour la santé et permettent une espérance de vie plus longue. ************************************************************************************************************************************************************************************************************************************* Après avoir écrit ce qui suit, j’ai découvert une autre contradiction ici: http://www.vegactu.com/actualite/le-mythe-vegetarien-un-livre-incroyablement-stupide-7429/ paleo http://www.steamsurfing.org/showpage/14 auteurre de « le mythe végétarien » (dont photo) Lierre, pourquoi avez-vous changé de régime alimentaire après 20 ans de végétalisme ? J’ai dû changer mon alimentation car j’ai eu de gros problèmes de santé. C’était devenu une question de vie ou de mort ! Ca a cependant été très difficile mentalement et émotionnellement d’accepter d’arrêter le régime végétalien … **********affirmation non étayée dont on peut douter comme de son prénom. Son livre est truffé d’erreurs qu’un végane se saurait méconnaitre. ********* erreur: faire un « régime ». Le seul « régime » est de contrôler son alimentation par le mental, et l’alimentation devrait être évidente, instinctive: pas morale ni cérébrale. il est extrême de faire un régime. l’evidence est l’expérience sensible, avec des animaux vivants, à moins d’y être complètement sourde? Comment avez-vous choisi le régime Paléo ? Quels sont les principaux avantages d’un tel régime ? Le Paléo repose sur une logique simple. Nous avons un corps paléolithique, nous devrions donc se nourrir comme tel. ****************les hommes préhistoriques des climats favorables étaient végétariens sauf en période glaciaire et sauf dans les pays froids, comme les singes bonobos avec qui nous avons 95% de gènes en commun. De nos jours, nous parlons de « maladies de civilisation ». Nous considérons ces maladies de cœur, diabètes, cancers, les maladies auto-immunes et toutes les maladies chroniques comme normales, car elles sont omniprésentes dans notre culture. Mais les chasseurs-cueilleurs n’avaient aucune de ces maladies ! ****************difficile de savoir ni la santé ni la quantité qui était chassée; encore une affirmation gratuite. mais cette dame chasse-t-elle et cueille-t-elle elle-même? a l’époque il ne s’agissait pas d’un régime absurde, mais d’une nécessité. ces maladies datent de ce siècle, et cela fait des millénaires que nous ne sommes plus chasseurs-cueilleurs. J’ai été abasourdie d’apprendre cela. A cette époque, aucune de ces maladies n’avait été observées ! L’alimentation est donc le moteur de notre santé … Pour suivre un régime Paleo et se nourrir d’aliments de qualité qui respectent les besoins du corps humain, nous devons manger des animaux élevés en pâturages, mangeant de l’herbe par exemple. De cette façon, nous pourrions reconstituer une bonne terre, des prairies saines et exploitables. Il est aussi urgent de préserver et de nettoyer nos rivières, nos fleuves et nos mers pour permettre également à ces millions de créatures en voie de disparition de se reproduire à nouveau. ************comment tu fais pour nettoyer les rivières? (projection perso: nettoyer les artères…); connais tu les désastres écologiques de l’élevage, des pâturages, …? Sur les 450 zones mortes dans le monde entier *************projection perso… , une seule s’est régénérée ! Cette zone se situe en Mer Noire. Avec l’écroulement de l’URSS, l’agriculture a disparue dans la région. Aucune agriculture, donc aucune zone morte. L’océan a guéri ! Ce phénomène pourrait se produire partout si les gens arrêteraient de détruire le monde avec l’agriculture intensive … Les prairies exercent un travail étonnant pour isoler le carbone. La seule façon d’arrêter le réchauffement climatique est de retourner vers une agriculture saine et respectueuse de l’environnement, propice à l’expansion des prairies. Ainsi, manger Paleo nous guérit tout autant que cela guéri la planète ! **********……….!!!!!!!!! pour nourrir tous les habitants de la terre avec prairies et élevage… il faudrait déforester 25 planètes!!! Dans notre société, cela devient difficile de manger une nourriture de qualité, biologique et locale. Quels sont vos secrets pour vous procurer de la bonne nourriture ? En particulier pour la viande et le poisson ? J’ai de la chance car je vis à la campagne et il y a des fermes biologiques qui produisent de tout de manière éthique et responsable. *************estce éthique vis a vis des animaux? cela fait douter de la véracité de ses soi-disant « 20 ans de végétalisme arrêté pour problèmes de santé »…… Aux Etats-Unis, il existe un site internet (gowild.com) où l’on peut trouver des fermes qui élèvent leurs animaux à base d’herbe n’importe où dans le pays. J’ai également la chance d’avoir de l’espace chez moi pour cultiver mes propres légumes. Trouver de la bonne nourriture demande du temps ! Vous devez faire des recherches et poser des questions afin de vous instruire au maximum. Est-ce facile pour vous de trouver des restaurants ou d’être invitée par des amis tout en continuant votre régime Paléo ? Je ne veux pas que mon alimentation soit une contrainte pour mes amis lorsqu’ils organisent un repas. Je ne sors pas souvent au restaurant mais je voyage beaucoup et lors de mes déplacements cela peut être compliqué de suivre mon régime Paléo. Ma ligne de conduite quand je voyage est de ne surtout pas manger de gluten. A part ca, j’essaie de faire de mon mieux … La plupart de mes amis proches ont la même alimentation que moi, ce qui m’arrange donc lorsque l’on fait des repas. En soirée, je fais en sorte d’apporter ma propre nourriture car je ne suis jamais sûre de pouvoir manger une nourriture saine, ou je mange avant, afin de ne pas avoir faim. Aux Etats-Unis, il y a de plus en plus de restaurants qui proposent des plats réalisés avec une nourriture locale. C’est toujours un plaisir de lire ‘ce hamburger est nourri à l’herbe’ sur un menu ! Beaucoup de gens autour de vous ont-ils le même régime ? Oui ! La plupart des gens qui m’entourent mangent la même chose que moi. Nous suivons tous un régime sans gluten et nous essayons de manger uniquement des viandes issues d’animaux nourris à l’herbe. ************assez sectaire… et confus (elle se contredit). C’est une nourriture fabuleuse ! ************ Steamsurfing est vraiment un beau projet et je suis très heureuse que le régime Paléo soit mis en avant dans les préférences alimentaires ! *************toujours pas étayé…. comble de l’absurdité: c’est sur le site web du « vitaliseur de marion »: quelque chose pour vitaliser dans un contexte aussi mortuaire? une casserole! une façon de dévitaliser! et pas en accord avec régime paléo… ni alimentation vivante… en regardant cette mauvaise com: des fruits dans une poubelle, et encore une allégation que…. « la naturopathie foudroyée: mythes, mensonges et erreurs graves en naturop… » que des affirmations infondées: « dangers » du crudi et vergé, .. »à l’encontre du bon-sens et de la santé »!! http://www.vitaliseurdemarion.fr/officiel/le-mag-de-marion/marion-vous-dit-tout/naturopathie-foudroyee/ Si ce livre contribue à une naturopathie à visage humain *********culture… visage des parents, etc , où le plaisir de vivre *********subjectif, lié a culture et souvenirs n’est en aucun cas antinomique de la santé et/ou le respect de la physiologie s’accorde telle une symphonie avec le mode de vie, je penserai peut-être que mon passage dans ce monde n’aura pas été totalement inutile. » ***********blablabla… Voici quelques observations sur des sujets très sensibles en ce moment: L’homme est crudivore : qui mange cru mange juste! Faux! Il nous fait une comparaison entre l’homme et l’animal: la vitalité d’un animal se répartit à 25 % sur le plan cortical cérébral et 75 % sur le plan végétatif viscéral, donc métaboliques et digestif. Le capital enzymatique est énorme. L’animal peut digérer le totalement cru. La vitalité de l’homme se répartit à 75 % sur le plan cortical, cérébral, cérébro-spinal et 25 % sur le plan végétatif viscéral, donc métabolique et digestif. ****************encore une affirmation fantaisie Son capital enzymatique est faible, et son alimentation doit être un quart cru (apport vitamines hydrosolubles) et 3 quarts cuite (pré digestion des aliments). La cuisson permet une meilleure digestibilité des aliments. Prenons pour exemple la pomme de terre qui crue, est digeste à 14 à 18 % et cuite à plus de 96 %. **************evidemment… le crudi mange pas des patates! Même exemple pour la banane qui crue à une digestibilité de 20 % pour 92 % de cuite. **************quoi????? banane verte? pour la manger il faut attendre que la peau se tache de points noirs, on peut alors en manger 20, 30 ou 40 par jour… En conclusion : « qui mange cru, mange faux ». Que mange alors le crudivore? Il mange des fruits aqueux car ils sont faciles à utiliser entre les repas. Il peut en consommer entre 1 et 3 kilos par jour. Malheureusement, cette quantité est dangereuse pour beaucoup d’individus du fait de leur apport en sucres qui aura tendance à fermenter et à acidifier le terrain. ************faux: fermente et acidifie seulement lorsque cuit avec fruits au même repas. Ou losqu’ils ne sont pas mûrs. Et plus l’individu est frileux et fatigable, moins il pourra supporter les acides des fruits. L’alimentation végétale comprenant au repas céréales + légumineuses, par exemple : riz + soja ou blé + lentille peut remplacer les protéines d’origine animale. Encore un mythe que Robert Masson dénonce. Aucune protéine végétale n’est complète : les céréales et oléagineux sont carencés en thréonine, lysine, isoleucine, les légumineuses sont carencées en tryptophane, méthionine, cystine. Les végétaliens se sont donc dit qu’en associant les légumineuses avec les céréales ils obtiendraient une complémentarité apportant tous les aminoacides, évitant ainsi les risques de carences. Hélas ce n’est qu’une théorie séduisante mais la réalité est toute autre. ************alors pourquoi tant de champions sportifs végétariens et frugivores? Même si les acides aminés sont présents, certains le sont en quantité insuffisante. Or, si un seul acide aminé comme la lysine n’est apportée qu’à 40 % par rapport aux besoins organiques, non seulement l’organisme va souffrir de carences en lysine, mais aussi de tous les autres acides aminés, car l’organisme n’utilise les aminoacides qu’en fonction de celui présent au minimum. Les besoins protéiques de l’organisme ne sont donc assurés qu’à 40 % dans cet exemple et ceci, même s’il y a suffisance de tous les acides aminés à part un seul! *************ils se stockent au moins 40 jours en attendant… Chaque acide aminé doit être présent en quantité suffisante ce que l’alimentation végétalienne ne peut pas apporter. Healthy vegetarian home made food Les protéines : un problème de bio disponibilité Les protéines végétales sont enfermées dans un contexte fibreux. Elles contiennent de la cellulose, de la lignine de la cutine, de l’hémicellulose et leurs fibres sont très difficiles à extraire pour le tube digestif humain. Se nourrir à base de céréales + légumineuses entraîne une atonie fonctionnelle de l’estomac, de l’intestin et du foie due à l’excès de glucides et à la carence protéique. Il suffit de constater l’haleine exhalée par les végétaliens qui peuvent avoir des relents alcooliques à cause des fermentations que cela occasionne. Quand aux bébés nourris au lait de soja il suffit de regarder son abdomen hyper dilaté sur un tronc squelettique et de sentir ses selles nauséabondes, pour comprendre que son appareil digestif est soumis à des efforts surhumains. Enfin, il est important de sécréter de l’acide chlorhydrique dans l’estomac. Les protéines animales ont ce pouvoir. Si on ne mange plus de viande ou de poisson, l’hypochlorhydrie peut s’installer. Or, c’est l’acide chlorhydrique qui déclenche la sécrétion de 3 hormones au niveau du duodénum : – la cholécystokinine qui commande la vidange de la vésicule biliaire – la pancréozymine qui commande la sécrétion enzymatique du pancréas – la sécrétine qui commande la sécrétion aqueuse et bicarbonate et du pancréas Le problème des autres nutriments Les végétaux ne contiennent pas de vitamine A, ils ne contiennent que du béta-carotène qui doit être transformé par le foie en vitamine A. Or le foie en mauvais état ne peut pas faire cette conversion. Les végétaux ne contiennent pas de vitamines D3 ils ne contiennent que de la vitamine D 2 qui est beaucoup moins utilisable par l’organisme. La vitamine B12 se trouve essentiellement dans les fruits de mer, le foie, les œufs. Le fer contenu dans les végétaux et peu assimilable ce qui peut entraîner de l’anémie, de la fatigue et de l’hypotonie. Alors que le fer contenu dans les viandes ou les poissons a une forme très assimilable. Le zinc est un oligo-élément très important pour votre santé morale, sexuelle et immunitaire. Or il est très peu présent dans les végétaux. **********vegetarien depuis 25 ans mon immunité est excellente, etc. Il y a du fer partout et avec suffisament de vitamine C, pas moyen d’être anémique… même les médecins le savent Un mensonge de la naturopathie orthodoxe : l’homme a le même tube digestif que les grands singes, orang-outan et gorille, qui sont frugivores Dire que les grands singes sont frugivores et un mensonge délibéré et démontre une ignorance grave! En effet, les grands singes se nourrissent approximativement de 70 % de fruits aqueux, d’oléagineux, de racines sucrées, de pousses vertes, de céréales à l’état laiteux, de bananes etc. mais ils se nourrissent aussi à 30 % de termites, larves et insectes trouvés sous les écorces d’arbre, d’œuf d’oiseaux dont ils raffolent, d’oiseaux mangés dans les nids, de petits mammifères attrapés à la course et de fruits de mer lorsqu’ils sont prêts de l’océan. En fait, comme l’homme, les grands singes sont de parfaits omnivores. ************ ils mangent un petit peu d’insectes mais préfèrent les fruits. Nos insectes à nous seraient remplacés par des produits fermentés. Cet énorme mensonge de la naturopathie des années 1960 à 2000 doit disparaître définitivement. Les aliments vivants C’est vrai que les cuissons traditionnelles détruisent en grande partie les vitamines, notamment les vitamines hydrosolubles. (Sauf la cuisine au Vitaliseur bien entendu). Il est donc nécessaire de consommer une partie de notre alimentation crue mais cela ne veut pas dire que l’alimentation doit être 100 % crue! Appeler l’alimentation vivante une alimentation crue est une aberration! En effet, l’aliment qu’il soit cru ou cuit, va être détruit dans le tube digestif et va être phagocyté en structures moléculaires de plus en plus simples pour être absorbé par la muqueuse gastrique, entérique et même colique. C’est ce qu’on appelle le feu digestif. Si l’aliment restait vivant, s’il n’était pas fragmenté en différentes molécules et transformé en éléments de plus en plus simples, il ne pourrait pas entretenir la vie : cela veut dire que la vie ne peut s’entretenir que de la « mort » de l’aliment dans le tube digestif! Aujourd’hui, l’homme ne peut absolument pas se sustenter d’une nourriture entièrement crue sans altérer gravement sa santé insiste Robert Masson. S’il n’y a pas de cuisson, une partie de la vitalité d’un être vivant sera dispatchée sur le tube digestif, ce qui peut avoir des conséquences redoutables. Enfin, je voulais vous citer un témoignage que vous trouverez dans son livre et qui est tellement parlant aujourd’hui ! Torturer un bébé jusqu’à la mort au nom de la pureté Nous sommes dans les années 1980 et ce jour-là, une consultation va me faire mal, très mal… Je reçois un couple, il porte un couffin. – « Qu’est-ce qui vous amène à consulter ? – C’est pour la petite, dit le monsieur. – Quel âge a-t-elle ? – 30 mois. – Elle ne marche pas encore ? – Non, mais nous venons pour son eczéma. » Pendant la conversation, la maman a retiré doucement les bandelettes qui couvraient l’enfant. La, je vois, suintant de la tête aux pieds, une sorte de petit squelette aux yeux enfoncés dans les orbites. À cette époque j’avais déjà vu des seins rongés, des jambes gangrainées, et des malheureux, la souffrance en bandoulière, mais cette fois, c’est insoutenable, j’ai du mal à respirer et les larmes me montent aux yeux. Je me maîtrise et dis : « mais comment la nourrissez-vous ? » L’homme répond : « que des produits purs. » ************* »pur, impur »: ne veut rien dire, révèle une projection et un autre problème. – Qu’entendez-vous par produits purs ? – Que des laits bios et végétaux, jamais de produits animaux ! » *************incroyable de mettre le veganisme en cause, compte tenu des exemples positifs, de l’avantage statistique… Plus qu’une colère, la rage m’envahit, cependant je me calme il lui dis : « voyez, Monsieur, elle n’est pas bien, l’excès de farine a crée cet eczéma et l’absence de protéines animales a engendré cette maigreur inouïe, il faut changer cela, elle est en train de mourir ! » Il me regarde, totalement incrédule, se retourne vers son épouse et lui dit : « chérie, remet les pansements à la petite, nous sommes tombés sur un fou. » Je lui dis : « mais Monsieur, je vous en prie, réfléchissez, cet enfant est en train de mourir !» Cette fois, plus un mot ne sort de sa bouche et, sur le pas de la porte, il me dit : « Monsieur Masson, je dirige une coopérative bio, je parlerai de vous, je vous massacrerais… » *************si ‘était vrai il saurait que masson est anti-végane, et ne serait pas allé le consulter. Je lui alors répondu : « faites, Monsieur, je ne suis plus à un ennemi prêt ! » *************laissant supposer qu’il défend la vérité et est donc réprimé, encore une récupération? Des anecdotes comme celle-ci sont nombreuses dans cet ouvrage facile à lire et qui remet les pendules à l’heure. Peut-être cet écrit vous permettra-t-il de comprendre que la naturopathie est là pour vous faire du bien, qu’elle se veut toujours plus logique, plus rationnelle et qu’elle peut se concilier avec la vie courante pour le bonheur de tous. Marion Kaplan Bibliographie : « La naturopathie foudroyée » de Robert Masson aux éditions Guy Trédaniel Carnet de santé ************************************************************************************************************ Un autre article pro-omnivore: http://echelledejacob.blogspot.fr/2014/08/il-ny-aucune-societe-ou-tribu.html Indique qu’En 1930 le Dr Weston Price, ayant voyagé autour du monde à la recherche des populations indigènes non polluées par l’homme blanc et leurs aliments transformés, a écrit un livre: « Nutrition et dégénérescence physique ». « Il découvrit que les régimes de tous les peuples indigènes étaient incroyablement variés, en fonction de la géographie, du climat et de la nourriture disponible dans la nature. Les peuples indigènes qui suivaient le régime ancestral avaient une robuste santé mais ceux qui étaient partis ou qui pour d’autres raisons avaient abandonné le régime ancestral avaient développé des processus dégénératifs. Le Dr Price a aussi analysé l’alimentation des peuples indigènes en la comparant avec celle des américains de son époque et il a découvert qu’elle fournissait au moins dix fois plus de vitamines liposolubles provenant d’aliments animaux tels que le beurre, les œufs de poisson, les coquillages, les abats, les œufs et les graisses animales. Il concluait : … qu’il n’y avait aucune société ou tribu végétarienne en bonne santé. Alors qu’il avait découvert des végétariens, il y avait toujours des tribus en meilleure santé qui consommaient de la viande ou des produits animaux. En fait, en étudiant l’anthropologie culturelle, une des choses qu’on découvre, c’est que la quantité de viande mangée par une société quelconque était déterminée non par des croyances religieuses ou une mode, mais plutôt par la seule disponibilité. » **********ce qui est le titre de l’article « aucune tribu vegetarienne en bonne santé » manque dans ce cas de developpement:
avaient elles tous les végétaux utiles à leur santé?
comment le niveau de santé atil été estimé par ce dr? corpulence ou santé réelle? Les hunza par exemple, ne connaissent pas la maladie et vivent sans souffrir plus de 120 ans.
La position formelle de l’OMS en 2016: les régimes végétariens et vegetaliens bien équilibrés sont excellents pour la santé et permettent une espérance de vie plus longue.
La suite de l’article est surtout une revue de diététique analytique, avec laquelle je suis souvent d’accord sauf que tous ces nutriments se trouvent très bien aussi dans le monde végétal. Autant ceux dont j’écris ici où les trouver, que les autres acides gras saturés* auxquels l’auteur attribue l’intelligence… Qu’en dirait einstein, voltaire et tant d’autres prix nobels végétariens?
* (qu’on trouve aussi dans nombre de végétaux comme par exemple coco, palme, avocats, etc)
« Le seul régime de bonne santé est celui qui va à la rencontre de nécessités basées sur la génétique. Pour la plupart d’entre nous, exclure complètement l’un de ces groupes alimentaires vitaux de notre régime serait une erreur qui se répercuterait sur notre santé. » viande vitale? que dire des sportifs celebres? …dont la genetique n’y prédisposait pas specialement + que la notre. nous n’avons pas de besoins génétiques ni raciaux pour la viande.elle a permis de survivre à une période glaciaire de pénurie en végétaux, ces 2 derniers millions d’années, alors que l’homme existe depuis 25 millions d’années en mangeant 95% de végétaux
« Carences nutritionnelles courantes avec les régimes végétariens Les régimes végétariens sont couramment élevés en cuivre et faibles en zinc, qui est aujourd’hui très important, quand de nombreuses personnes sont déjà en surcharge toxique de cuivre. La quantité d’hydrates de carbone est généralement trop élevée et celle de protéines trop basse et de mauvaise qualité. La plupart des végétariens consomment des protéines venant du soja, de divers oléagineux et graines, et certaines les protéines des céréales, mais elles ne semblent pas nourrir le corps presque aussi bien que la viande, les œufs et les produits laitiers à base de lait cru. Cet apport, parmi d’autres déséquilibres et carences, entraîne un faible taux de phosphore dans les tests sur les cheveux, nous disant que ces protéines ne reconstruisent pas aussi bien le corps. » ********interprétation hazardeuse…*****et que dire des metaux lourds apportés par viande, poissons? « D’autres problèmes primordiaux consistent en une faiblesse des taux de vitamine D » *******soleil « et des acides gras oméga 3 » *******cameline, lin, colza « , ainsi que du complexe des vitamines B. On obtient souvent la majeure partie du complexe vitaminique B à partir des viandes, qui en sont de riches sources ainsi que les œufs. » *********souvent? pas toujours: elles sont dans les vegetaux crus, fruits, avocats, etc, aussi très presentes… « Quels sont les bénéfices d’un régime végétarien ? Les régimes végétariens sont généralement chargés en fibres et en fruits frais et par-dessus tout en légumes. Ils tendent aussi à un fort taux en certaines vitamines comme les vitamines A et E. Manger moins de graisses et de viande rouge (et bien sûr moins d’aliments industriels) peut aussi être bénéfique à ceux dont la digestion est lente, qui ont des allergies alimentaires, un excès de fer et autres problèmes intestinaux. Les gens qui fonctionnent en types métaboliques hydrates de carbone sont moins sujets à souffrir des régimes végétariens. » *******repas viande, feculents et cereales= + d’hydr de c que salades! concombre poivron avocat noix etc Habituellement, de nombreux médecins et praticiens de guérison holistique qui recommandent des régimes de type végétarien ou végétalien recommandent aussi des produits biologiques ou bio-dynamiques. Ce qui peut résulter en une réduction spectaculaire d’apports toxiques, améliorant à court terme les systèmes immunitaire et de détoxification du corps. Dans de nombreux cas les bénéfices immédiats sont dus au fait que les gens consomment de la vraie nourriture pour la première fois, ce qui accroît la vitalité et la clarté mentale et qu’ils mangent aussi de plus grandes quantités d’aliments crus ou vivants, éliminant dans l’affaire de multiples sources de toxines et d’aliments morts. D’après mon expérience, pourtant, ce sentiment de bien-être est dans de nombreux cas de courte durée. *******experience ou préjugé? quel methode statistique, quels autres paramètres, double aveugle??? (sans parler de l’influence des sceptiques…) Durabilité et éthique … Voici les questions que vous devez vous poser comme une nouvelle façon d’honorer votre nourriture. Cette nourriture crée-t-elle ou détruit-elle le sol ? N’utilise-t-elle que le soleil et la pluie, ou nécessite-t-elle du combustible fossile, de l’eau fossile, l’assèchement de zones humides, et la destruction de rivières ? Marcheriez-vous où elle pousse ou vous arrive-t-elle par un chemin glissant de pétrole ?-Lierre Keith, Le mythe végétarien Sur la ferme de Joel Salatin en Virginie (« la Mecque de la production de nourriture durable » comme Lierre Keith aime à l’appeler), son système de rotation de pâture des animaux fabrique presque 3 cm de sol par an, ce qui est énorme ! Comparé aux quelques millimètres de sol que peut fabriquer en cinquante ans une forêt de pins ! *******du sol qui est pris ailleurs? peut être pas; mais que dire d’une foret avec humains qui y pissent? et animaux qui ne seraient pas mangés.. Nous savons tous que l’agriculture industrielle détruit notre santé et la planète. Si vous êtes supposés manger de la viande, cherchez par tous les moyens des variétés locales, biologiques et nourries à l’herbe. Écoutez toujours votre corps car il vous parle. *******tous les préjugés influencent les pulsions, envies Réapprendre comment interpréter les signaux qu’il vous envoie chaque jour est vital pour la santé et la survie. La loi venant de la nature sera toujours au-dessus des études et technologies les plus récentes ********qui sont les seuls (faux)arguments ici , des régimes à la mode, et des philosophies ou croyances. Nous avons perdu collectivement notre sagesse ancestrale et beaucoup de preuves historiques. Et je pense qu’il est temps de faire machine arrière et de réapprendre cette précieuse connaissance qui a aidé l’humanité à prospérer pendant si longtemps. Aujourd’hui, c’est CELA qui serait éthique. ******contradiction: preuves hist effacees, /réapprendre du passé. en fait… elle prospérait avec peu ou pas de viande, sauf courte période glaciaire et pays très froids. Les esquimaux ont une espérance de vie de 40 ans. ***********l’article se termine par le mot « ethique », peut etre est-il en réaction contre les moralisations ethiques.