Venez vous baigner dans l’eau de source claire et abondante – réemployés pour l’irrigation. Il y a donc de l’eau froide à 16°C, et de l’eau chaude à très chaude issue des panneaux solaires et d’un réservoir calorifugé.
Les vacances sont une bonne occasion pour venir faire cette expérience de communion avec la nature, au contact vivant de l’eau.
Aidez l’association, l’association vous donnera accès à un bain à réserver, car pour garantir la quantité largement suffisante d’eau chaude il y a cet été 1 seul bain garanti.
1 bain pour 1 ou 2 personnes (en se serrant…): quelle que soit la durée jusqu’à 1 journée à partir de 20€, dégressif jusqu’à 10€ soit 70€ pour 7 jours. On vous sert un smmootie banane. Vous amenez tout ce dont vous auriez besoin nourriture ou autres.
possibilité de bivouaquer et accéder à une cuisine pour 10€/nuit.
En 2016 nous n’avons pas eu besoin de remettre les moustiquaires car il n’y a presque plus de moustiques
L’eau est puisée dans une veine sous une paroi rocheuse de 5 mètres sous 40 mètres d’argile, dans une rivière souterraine de gros débit (issue des profondeurs selon sa température de 16°C au lieu de 12°C dans la plupart des sources) et ses galets. Analysée sans bactérie pathogène ni aucune trace de pollution (analyse préfecture 3 pages), et encore analysée récemment, mais une lampe UVC est quand même en service pour rassurer la mairie.
Une couleur blanche peut apparaitre au puisage. il s’agit de microbulles suite au changement de pression, elles disparaissent après quelques minutes.
Issue des alpes en abondance, une partie peut utilement irriguer directement ou indirectement le terrain, le principal va se jeter directement sous la mer.
Ici on l’utilise plusieurs fois en cas de bain: pour le plaisir et ensuite pour un bassin et/ou l’irrigation. A la fin du compte l’eau n’est jamais perdue, mais elle peut mettre plus ou moins de temps a retourner dans son cycle: retour direct a sa source ou evaporation-nuages-pluie-source. »Aix ville d’eau » n’est ainsi pas menacée par le manque d’eau. Ne pas la polluer est une priorité.
Penser la « gestion » de l’eau au cas par cas: il n’est pas toujours justifié de l’économiser ou la laisser couler. Tout dépend d’où elle vient et ou elle va, et si on la pollue ou pas. Par exemple dans le cas le plus simple si on la prend a la rivière en amont et qu’on la remet dans la rivière en aval, on peut laisser le robinet ouvert tout le temps sans impact négatif si on ne la sabote pas avec des polluants. J’entends souvent parler de « gaspillage » (ce qui est justifié dans certains cas de réserve limitée comme a toulouse ou las vegas), mais je préfère parler de « sabotage » ou de « respect ».
Irrigation et brumisation de tous les espaces possibles par temps chaud ou sec, grâce à cette eau souterraine abondante. 9 rivières sur 10 dans le département, sont souterraines et vont se jeter sous la mer. préférer l’aspersion de façon à entretenir l’humidité du sol et prévenir contre les incendies, mais sans gaspi: il est inutile de laisser couler l’eau 1H au pied d’une même petite plante, 15 à 30 secondes d’exclusivité lui apporterait suffisamment 5 à 10 litres d’eau, la terre ne pourrait en retenir davantage dans la zone de ses racines.
Les analyses trouvent l’eau potable y compris en amont de la lampe UV. J’ai remarqué que la procédure pour ceux qui viennent prélever l’eau à analyser, est de chauffer le col de cygne du robinet, avec un chalumeau! avant de prélever l’échantillon. Je crois qu’idéalement pour prélever une eau potable, il faut pas la prendre à l’évier (« col de cygne » en acier, au dessus de la vaisselle sale?) et préférer un robinet en cuivre, ce métal étant bactériostatique.