Etude, découverte, comparatif, semis et achat groupé d'environ 125 ESPECES DE FRUITS reproductibles par graines (ne nécessitant pas de greffe), connus ou rares. Choisis pour leur douceur parmi des centaines la plupart sauvages comparés ici dans + de 50 tableaux. 10 fructifient en forêt (OMBRE TOTALE)! Certains résistent à la sécheresse! Grâce au "semis direct", ils réussiront mieux et exigeront moins d'eau. ……Pour lire la suite, fais glisser cette page vers le haut…
Pour mon usage personnel ce fut un très long travail de retrouver toutes ces espèces (parfois à l’étranger) et de les renseigner. Aussi j’ai pensé que ces informations vous seraient utiles, résumées dans le tableau que j’envoie sur demande, et détaillées dans des articles comparatifs, partiellement consultables sur fruitforestier.info.
Ci dessous une liste trouvée sur wiki, des 38 plus connus, mais les 40 variétés de l’article « tarif…bourse aux echanges » sont une sélection de cousins bien meilleurs, des fruits qui pourraient se manger crus en quantité. Si nous répandons ces graines en allant manger (ou semer sciemment) dans les espaces naturels, ces délicieuses autres variétés pourraient devenir plus communes, et la nature plus nourricière. Attention de cuire lorsque cela est conseillé, pour détruire des toxines ou principes anti-nutritifs (dans certaines graines et plus rarement fruits comme le sureau).
Également reproductibles fidèlement par semis, une minorité de cultivars: je les cite dans l’article « …semez… ».
Attention ! Certains de ces fruits peuvent être confondus avec des espèces toxiques d’apparence voisine. Ne consommez aucun fruit dont l’identité n’est pas absolument certaine. N.B.: Cette liste n’est pas exhaustive.
tu peux taper une partie du nom dans la fenêtre de recherche interne (sous le menu à droite), et trouver un article sur la variété meilleure à excellente, avec un TABLEAU comparatif des variétés de la même espèce. En cliquant sur les noms (colonne de gauche du tableau comparatif) tu peux voir la photo, ensuite reviens sur thermes-solaires.com avec la flèche « revenir à la page précédente » qui est généralement tout en haut à gauche de ton écran (navigateur).
Si tu cherches des variétés sélectionnées, issues d’heureux hazards lors des semis, puis greffées ou bouturées, il y a de nombreux pépiniéristes. J’aime particulièrement http://www.pepiniereburri.com/catalogue.htm
Si tu veux échanger plants ou greffons, ou greffer par toi-même, il existe des sites spécialisés ayant réalisé un travail remarquable, comme:
La plus grande partie des infos sur ces 55 fruits proviennent d’une banque de données anglophone sur +7000 plantes comestibles, dont tous les liens sont joints aux traductions : http://www.pfaf.org/user/default.aspx
Merci à eux pour leurs travaux, qui sont une base indispensable! Et pour leur autorisation d’en traduire des extraits.
la roncière ou la friche d’arbustes type aubépine genet* (etc) est le terrain idéal pour ombrer et aider les semis, ensuite les arbres ayant besoin de soleil dépassent les broussailles qui disparaissent par manque de soleil et apparaissent des arbustes tolérant l’ombre. Cela est vrai avec les variétés botaniques (dont je recense les plus délicieuses), botaniques = sauvages qui se reproduisent fidèlement par semis. Et aussi avec des arbres greffés, je publierais bientôt es photos comparatives sur les 100 fruitiers que nous avons plantés à Aix-en-Provence: ils y poussent jusqu’à 4 fois plus vite qu’en plein champ découvert.
Le risque incendie est réduit ou nul en cas de bonne irrigation, hydratation du sol. Et il y a des « broussailles » qui sont peu inflammables, nous apprendrons prochainement à les reconnaitre avec MORGAN.
« Défricher » à la facon mécanisée est « peine perdue », car tout repousse jusqu’à ce que les arbres de plus en plus grands y fassent leur place, ainsi que les arbustes d’ombre (foret a plusieurs étages de feuillus et persistants).
En plus, une débroussailleuse crée un environnement hostile, traumatisé, dangereux pour les pieds nus.
Tout naturellement, un terrain nu se couvre d’abord de buissons et broussailles « de soleil » qui quelques décennies plus tard laissent la place à des arbres plus grands.
Le meilleur moyen, à long terme et sans efforts, de ne plus avoir de « broussailles », c’est de les laisser pousser vers le haut: en coupant ls branches basses près du tronc pour permettre au bourrelet cicatriciel de refermer la plaie (et non pas couper a 1 ou plusieurs cm du tronc, ce qui entrainerait soit la repousse de la même branche soit le pourissement jusqu’à l’intérieur du tronc et finalement un arbre creux à longévité réduite). Ainsi, on forme un parasol, avec un tronc vertical de hauteur d’homme qui ne constitue aucune gêne pour les activités naturelles, tout l’espace est disponible pour nous et les semis d’autres arbres.
La débroussailleuse est l’outil le moins naturel. Il sépare son utilisateur de son écoute et sa conscience, soit en couvrant de son bruit ce que la nature aurait a nous dire (c’est a dire en détournant notre attention vers l’idée que nous avons une tâche à effectuer, une machine à faire fonctionner, etc), soit en donnant le sentiment de toute puissance, soit d’intervenir sur nous-mêmes (la nature étant le miroir de notre inconscient, on pense ainsi se débarrasser de nos parties les plus terrifiantes au lieu de les apprivoiser, les comprendre, en en développer les cotés les plus beaux et bienveillants).
Lorsque en y réfléchissant à 3 fois et/ou à plusieurs personnes ou jours d’intervalle (préavis), en laissant du temps à cette réflexion et un peu de rêverie (l’état alpha du réveil tranquille ou de la méditation), on se résoud à couper telle branche ou telle plante, pour une raison pratique et non par répression, on le fait « en conscience ». Sur le plan pratique: plus durablement et harmonieusement: ainsi, une ronce peut s’arracher facilement sans outil, car la base au niveau du sol est sans épines, et il y a peu de racines. En comparaison, une même ronce coupée à la débroussailleuse, en gardant toutes ses racines, repousse encore mieux.
Le fait de ne pas tondre l’herbe incite a emprunter des chemins au cours naturel, doux pour les pieds nus, et offre un spectacle au printemps avec des fleurs différentes d’une semaine à l’autre. Les zones de hautes herbes constituent également une protection naturelle pour les insectes (dont prédateurs) et semis d’arbres.
Lorsque nous avons besoin d’un espace, l’herbe se couche naturellement, en constituant un tapis doux, et si jeune plant épineux indésiré il y a, il est plus facile de le voir pour l’éviter ou l’arracher, que s’il n’en reste que 2 cm après tonte ou débroussaillage: ce qui peut blesser.
* le genet est un voisin très avantageux pour un arbre. Il capte l’azote et en enrichit le sol. il est doux et ne blesse pas ses voisins lorsque le vent les fait se fouetter (ce qui est une vue de l’esprit, car je n’ai jamais vu de plantes se blesser même en étant serrées). Voici l’expérience que j’en ai faite, le pommier planté il y a 10 ans entre des genets est aujourd’hui 2 fois plus grand que ceux que j’ai plantés ailleurs.
But 1: Faire don de souveraineté alimentaire durable (introduire des fruits souverains: fidèles par semis ou drageons, capables de se reproduire seuls, ils pourraient former des forets comestibles ou nourricières pour les millénaires à venir).
But 2: Faciliter l’accès aux infos et graines correspondantes, dans une optique frugivore et permaculturelle.
Sans parler de variétés inédites, voici encore des espèces:
Ehretia acuminata (10m, asie, drainage, soleil, caduc, tous ph, zone 7)
ici je compare 3 aristotelia en indiquant les différences en gras. Le texte principal correspond à la traduction de la source « Pfaf », le texte en gris d’autres sources.
Aristotelia fructicosa:
2m
ARISTOTELIA serrata:
Feuillu
H 7,5 m (24 pieds 7 pouces). Il est rustique de zone (UK) 8. Cette vague indication signifie que la MOYENNE des pointes de froid se situe entre -7 et -12°C, ce qui laisse présages des RECORDS de froid de l’ordre de -17°C
Doit être protégé du gel au moins sa 1ère année. selon https://fr.wikipedia.org/wiki/Records_de_temp%C3%A9rature_sur_Terre il y a eu un record de froid de -20°C en nouvelle zélande où la plante est endémique, mais ce record a été relevé à Ophir au centre de l’ile montagneuse, -10°c dans 2 autres villes, et je ne sais pas si dans ce cas la plante gèle et repart des racines ou graines?
Il est fleuri en mai.
Les fleurs sont dioïques (les fleurs individuelles sont soit mâles ou femelles, mais un seul sexe se trouve sur une plante, donc les plantes mâles et femelles doivent être cultivées si la graine est nécessaire) et sont pollinisées par les abeilles. Pas auto-fertile.
Convient aux sols légers (sableux), moyennement argileux et lourds (argileux) et préfère les sols bien drainés. PH approprié: sols acides et neutres.
En Nouvelle zélande (ile volcanique), on le trouve en lisière de forets humides
Il peut pousser en semi-ombre (bois clair) ou pas d’ombre. Il préfère le sol humide.
Synonymes A. racemosa. Dicera serrata.
Fruits – crus ou cuits [2, 46, 61, 173]. Un goût délicieux [153]. Le fruit a environ 7 mm de diamètre [200]. Utilisations médicinales
Plantes pour un avenir ni fruitforestier ne peut pas assumer aucune responsabilité pour les effets indésirables de l’utilisation des plantes. Toujours demander conseil à un professionnel avant d’utiliser une plante médicinalement.
Antirhumatisme; Ophtalmique; Cataplasme.
Antirhumatisme, ophtalmique, cataplasme [61].
Autres utilisations Charbon de bois; Colorant; Bois.Rend un colorant bleu / noir [153]. Aucun autre détail n’est donné. Le bois est utilisé dans l’ébénisterie, le tournage, l’incrustation etc. [46, 61] ainsi que pour la fabrication du charbon [46, 128]. Détails de la culture Préfère un sol légèrement acide, moyennement fertile, bien drainé, en plein soleil, à l’abri des vents froids et secs [200]. Les plantes poussent le mieux dans l’ombre légère [219]. Les plantes ne sont robustes que dans les régions plus douces et plus humides de la Grande-Bretagne [1, 11], qui poussent bien dans les bois légers [166]. Si elles sont coupées en hivers rigoureux, elles ressortiront souvent des branches les plus solides [219]. Les jeunes pousses au printemps, même sur les plantes matures, sont gelées et donc il est préférable de cultiver les plantes dans une position à l’abri du soleil du matin [K]. Dans sa Nouvelle-Zélande natale, c’est l’une des premières plantes à coloniser des zones de bois défriché ou de terrain détruit [219]. Les plantes n’ont pas vraiment besoin d’élagage [219]. Dioïque. Les plants mâles et femelles doivent être cultivés si des semences sont nécessaires. Propagation Semis – semis de printemps dans une serre. Quand il est assez grand pour être manipulé, piquez les semis dans des pots individuels et les faire pousser sur la serre pendant au moins leur premier hiver. Une fois que les plantes sont d’au moins 20cm de hauteur, les planter vers leurs positions permanentes à la fin du printemps ou au début de l’été, après les dernières gelées attendues. Envisager de leur donner une certaine protection contre le froid pour au moins leur premier hiver en plein air. Découpes de bois mi-mûrs, juillet / août dans un cadre [11]. Coupe du bois matures de la croissance de la saison en cours au début de l’hiver [1]. Prenez des boutures de 15 à 30 cm de long et plantez-les dans des pots ou du sol dans une serre. Ils racine normalement très facilement et peut être mis en pot au début de l’été puis plantés à la fin du printemps suivant [K].
Aristotelia chilensis (baie de maqui)
arbuste à feuilles persistantes
H 3 m (9 pi) par 5 m (16 pi). Il est rustique de zone (UK) 8. Cette vague indication signifie que la MOYENNE des pointes de froid se situe entre -7 et -12°C, ce qui laisse présages des RECORDS de froid de l’ordre de -17°C
Doit être protégé du gel au moins sa 1ère année
En fleur en mai,
les graines mûrissent d’août à septembre.
Les fleurs sont dioïques (les fleurs individuelles sont soit mâles ou femelles, mais un seul sexe se trouve sur une plante, donc les plantes mâles et femelles doivent être cultivées si la graine est nécessaire) et sont pollinisées par les abeilles. Pas auto-fertile.
Il est noté pour attirer la faune.
Convient aux sols légers (sableux), moyennement argileux et lourds (argileux) et préfère les sols bien drainés. PH approprié: sols acides et neutres. (sur les volcans en argentine et chili, pouzzolane à conseiller pour enrichir le sol donc
Il ne peut pas pousser à l’ombre. Il préfère le sol humide.
Synonymes A. macqui. Cornus chilensis Fruits bruts ou séchés pour l’hiver [11, 22, 46, 61, 97]. Un goût agréable un peu comme les myrtilles [2]. Le fruit est plutôt petit, d’environ 6 mm de diamètre [200].
Utilisations médicinales
Plantes pour un avenir ni fruitforestier ne peut pas assumer aucune responsabilité pour les effets indésirables de l’utilisation des plantes. Toujours demander conseil à un médecin avant d’utiliser une plante médicinalement.
Astringent; Fébrifuge; Cataplasme.
Un vin fait à partir du fruit est dit avoir des propriétés médicinales [11]. La plante (la partie exacte n’est pas spécifiée) est astringente, fébrifuge et cataplasme. Il est utilisé dans le traitement des infections de la gorge et des tumeurs intestinales [139].
De plus, grâce à ses propriétés antioxydantes (cf les tests ORAC montrant une activité antioxydante quasi inégalée !), ces baies permettent de renforcer notre système immunitaire. Selon certaines sources elles auraient un pouvoir antioxydant trois fois plus importante que l’Açaï par exemple. Les baies de Maqui sont également une bonne source de vitamines A et C, de potassium, calcium et fer. Son goût est légèrement acidulé et rappelle un peu celui d’un bon vin rouge.
Détails de la culture Préfère un sol légèrement acide, moyennement fertile, bien drainé, en plein soleil, à l’abri des vents de séchage à froid [200]. Les plantes sont assez tolérantes à l’exposition maritime [K]. Cette espèce est seulement robuste dans les régions plus douces et plus humides de la Grande-Bretagne [182] et même il peut être réduit dans les hivers rigoureux [K]. Si les plantes sont coupées par des gelées hivernales, elles mettent généralement en place une foule de pousses vigoureuses au printemps et celles-ci auront besoin d’éclaircies [219]. Les fruits sont produits librement en S.W. Angleterre [11]. Il ya une très bonne plante à Rosehill près de Falmouth [59]. Les fleurs sont très attrayantes pour les abeilles [59]. Dioïque. Les plants mâles et femelles doivent être cultivés si des semences sont nécessaires [182]. Propagation Semis – semis de printemps dans une serre. Quand il est assez grand pour être manipulé, piquez les semis dans des pots individuels et les faire pousser sur la serre pendant au moins leur premier hiver. Une fois que les plantes sont d’au moins 20cm de hauteur, les planter vers leurs positions permanentes à la fin du printemps ou au début de l’été, après les dernières gelées attendues. Envisager de leur donner une certaine protection contre le froid pour au moins leur premier hiver en plein air. Découpes de bois mi-mûrs, juillet / août dans un cadre [11]. Coupe du bois matures de la croissance de la saison en cours au début de l’hiver [1]. Prenez des boutures de 15 à 30 cm de long et plantez-les dans des pots ou du sol dans une serre. Ils racine normalement très facilement et peut être mis en pot au début de l’été puis plantés à la fin du printemps suivant [K].
ces fruitiers se greffent plus facilement qu’ils ne se bouturent, mais certaines variétés sont plus enclins à la bouture, telles le pommier « transparente de croncels », et le poirier « williams » selon http://www.greffer.net/discussion/viewtopic.php?f=15&t=987
le conseil de Ferreol pour bouturer les pommiers, est de casser les bourgeons enterrés, voir son post du 20 juin 2013 (p.1):
mon frère a tester l’ultraponie avec réussite (contrairement à moi), il suffit de regrouper tout les paramètres optimums (époque de prélèvement des boutures et température adaptée)
il est parvenu à tout faire raciner,même les pires essences comme le noyer le kaki le cerisier,ces pommiers ont également pris.
Pour ma part je m’y relance en Automne.
je soupçonne cette technologie de pouvoir remplacer le contraignant « in vitro » et donc, d’être l’un des outils pour une révolution agraire (anti mondialisation), l’agriculture étant la base de la civilisation.
le 10/02/2014, autrevie précise les formules d’hormones pour réussir les boutures.
en p.3, autrevie n’a pas réussi de multiples essais de marcottage aérien de pommiers. Il va essayer en fin de branchette.
francois réussit une bouture la seule qui comportait un bout de bois de 2 ans (sans hormones).
en p.4 il est suggéré de mettre horizontalement ou en biais la partie enterrée des boutures, préférence au vieux bois dans du substrat léger.
françois du perche détracteur de la bouture, argumente que les fruits n’arrivent qu’après 5 à 10 ans et risquent d’être plus petits.
Le semis directement en place définitive assurerait le meilleur système racinaire (pivot), mais si l’arbre n’est pas greffé, la pomme sera plus ou moins bonne (jusqu’à 35% de bons résultats si les graines sont issues d’un verger conservatoire regroupant beaucoup d’espèces très différentes qui se métissent avantageusement).
mon expérience avant d’avoir vu ce qui précède: je n’ai pas réussi en vertical sans ébourgeonner, même pas avec la transparente de croncelles: http://www.greffer.net/?p=346. dans mon test, le 19 juin elle était seule survivante derrière la royal gala.
légende du tableau:
h=hormone
sh=sans hormone
C= mis sous cloche (bouteille plastique au fond coupé, emboitée sur la bouteille faisant office de pot, et au bouchon ôté
++=prometteur
+=légèrement prometteur
0=toutes feuilles séchées mais léger espoir
-=toutes feuilles séchées et pronostic douteux
important: le 14/06,
j’ai fait une mini serre en photo (à la lumière et à l’ombre). Avant, elles étaient également à l’ombre dans la maison (22 à 28°C, humidité 75%) mais sans ces double vitrages autour d’elles.
j’ai laissé les 4 cloches sans savoir si elles sont utiles ou nuisibles (certaines feuilles en touchent les parois).
je n’ai recoupé que les feuilles noires, peut etre aurais je pu réduire toutes les boutures encore prometteuses à une seule feuille?
nouveau: j’ai mis 2 cm d’eau au fond des bacs. cela réduira la température, augmentera l’humidité mais limitera aussi les apports d’air par les mini trous que j’ai fait au fond des pots (remplis de 2 cm de pouzzolane puis de terreau commercial): =avantage ou inconvénient?
Autres pistes envisagées:
une brumisation « ultra sons » et enlever les cloches?
enfermées comme sur la photo?
ou à l’ombre des arbres dans une foret bien fournie? (variations de température plus importantes mais brumisation permanente, avec ou sans ultra sons, possible)
16 juin:
Fenouillet gris et royal gala semblent mieux se comporter, mais j’ai besoin de conseils 🙂
19 juin:
seuls la transparente de c et la r gala, sont encore en course…
mais pas longtemps.
pousse et talon, 20 à 40 cm; avec 2 à 4 feuilles de l’extrémite (sauf royal gala pas de feuille ou 1 petite)
cueillette le mercredi 4/06 (mise en terreau immédiate)
14/06: la cloche C est déplacée vers l’astrakan rouge plus prometteuse que la reinette d’angleterre.
16 juin: que faire? sous les cloches les feuilles étaient couvertes de mycelium? « toile d’araignée »; j’enlève 2 cloches et désemboite les 2 autres pour davantage d’aération
fenouillet gris
3h
++C
++ C
par bouture,1 à 2 feuilles saines tiennent encore bien, je détache les autres.
royal gala (boutures à talon plus fines, courtes et marron (écorce tandis que les boutures d’autres pommiers sont plus vertes)
3h
+ (1 ou 0 feuille)
++
++
poire president héron
1h
+
+
ses 3 ptites feuilles tiennent toujours bien!
transparente de croricelles (2pots)
5h
+C
(2 pots)
2+, 3zéroC
1 à 2 feuilles saines tiennent encore bien, je détache les autres.
j’enlève une des 2 cloches
astrakan rouge
(2 pots?)
5h
+
2+, 3-, C
j’enlève la cloche car elle touche une feuille
reste 2 feuilles sur 1 bouture, aucune sur les autres
reinette d’angleterre
3h
+C
0
–
toutes feuilles sèches mais une tige reste flexible, je remets cloche désemboitee..
poire beurré h
2h
0
–
toutes ses feuilles noircies se sont détachées, les bourgeons commencent à noircir
Belle fleur jaune
5h + 5sh
–
belle boskop
2h
–
cox orange
17
–
belle salins
10
–
Golden
7
–
Député
5
–
angelys (poire)
5
–
du mans: première à sécher le 8 juin (car?) boutures les plus courtes et vertes: 10-15 cm
Un porte greffe adapté au sol calcaire permet parfois d’y faire pousser un greffon qui n’y serait pas adapté. Greffer lorsque la bouture est difficile, permet de reproduire une variété dont les graines ne seraient pas fidèles (comme la plupart des pommiers).
Affranchir un arbre greffé consiste à butter (enterrer) son point de greffe, avec sable ou terre (mais surtout pas mettre au contact du bois les fumier, compost, paille, ils pourriraient le collet). Le greffon fait alors ses propres racines qui lui sont génétiquement adaptées. La plupart des variétés de pommiers poussent alors plus vite et haut (et ils tolèrent le calcaire comme les autres sols). Plus rares sont les variétés qui seraient moins vigoureuses sur leurs propres racines.
Si le porte greffe meurt alors, Les rejets et drageons seront issus du greffon affranchi, donc la variété sélectionnée, si elle est adaptée au sol, devient pérenne des millions? d’années, sans culture ni entretient.
Affranchi, l’arbre vit plus longtemps, est souvent plus vigoureux, plus grand et en bonne santé. (Sans affranchissement, les greffes d’espèces les moins compatibles vivent moins longtemps, mais le pommier greffé sur semis direct de pommier pourrait vivre 100 ans selon: http://www.greffer.net/?p=346)
plus grand nombre de fruits plus petits (et sains), récolte plus tardive mais plus abondante surtout compte tenu la grande hauteur et longévité de l’arbre affranchi.
fructifie 2 ou 3 ans plus tard en comparaison avec un arbre dépendant de son porte-greffe nanifiant.
Bien entendu, les tolérances et préférences de sols deviennent alors celles du greffon (par exemple, si un pommier est greffé sur cognassier, une fois affranchi il sera plus tolérant au calcaire que le cognassier).
Sur un blog, quelqu’un se plaignait que son arbre affranchi ne donne plus de fruits, sauf quand il coupe une grosse racine (pour limiter l’apport de sève comme le ferait le porte-greffe). Interrogé sur ce point, un pépiniériste exposant a la foire eco-bio de Colmar en 2015 précise que s’il est taillé, l’arbre affranchi ne fructifiera pas, occupé a produire plus de bois en réaction. Cela plaide pour tout laisser faire naturellement: racines et bois étant alors génétiquement adaptés, se satisfont l’un et l’autre sans nécessité ni souhait d’aucune intervention culturale (ni taille, ni traitements…).
Le semis des graines d’un pommier, poirier, cerisier, pêcher, etc… affranchi ne donnera pas une reproduction plus fidèle qu’avant, car ce sont des « cultivars » (nom de variété sélectionnée s’ajoute au nom latin). Le semis de cultivars ne donne pas l’identique, à quelques exceptions près.
Des cultivars se reproduisent au moyen de boutures (vigne, kiwai, figuiers…) ou de greffe (pomme, poire, pêche, prune, abricot…). Des boutures sous brumisateurs à 20°C seraient également possibles avec certaines pommes, par exemple pommes royal gala et transparente de croncels.
Les semis de pêche prune et abricot donnent souvent de bons résultats, mais le plus souvent pas des fruits aussi gros que la variété originale.
D’excellentes variétés greffées ou bouturées sont disponibles, par exemple, aux pépinières burri:
1) test: on peut verser une cuillère de vinaigre sur le sol, qui mousse si le sol est basique (alcalin), si du bicarbonate de soude mousse c’est que le sol est acide.
2) Pour acidifier le sol:
selon:
http://fr.wikihow.com/acidifier-le-sol
ne pas ajouter de vinaigre: acidification temporaire et biocide.
s’il n’y a pas trop d’argile, on ajoute beaucoup de matières organiques.(feuilles, compost, tourbe de sphaigne*, …)
selon:
terre de bruyère (ou tourbe blonde*) et sachets de thé (thé après les infusions au lieu de le mettre à la poubelle).
ou même du café? selon: http://www.comment-sur-tout.fr/la-maison-et-le-jardin/le-jardinage-et-le-paysagisme/comment-rendre-un-sol-acide-pour-des-plantes
selon:
http://www.aujardin.org/terre-sous-des-sapins-terre-bruyere-t85639.html le compost d’aiguilles de pin, sapin, ont été utilisées aves succès sur rhodos et azalées.
S’il est argile-calcaire, il faut ajouter du souffre ou sulfate de fer (1kg pour 10M2: le ph passe de 7 à 4,5).
souffre (magasins bricolage, jardinerie): 1 an avant de planter, car a besoin de bactéries. ou sur les plantes déjà plantées, car son action est progressive et on ne risque pas de choc. le mélanger en remuant la terre sur au moins 15cm.
sulfate de fer pour sols compacts (c’est à dire pauvres en vie) : 3 semaines sans bactéries.
Tourteau de graines de coton: cet engrais est acidifiant.
pipi? Utilisez de l’engrais contenant de l’ammoniaque. Dans la plupart des cas, il suffit d’utiliser un engrais à base d’ammoniaque pour acidifier les sols.[11] La plupart des engrais qui sont prévus pour être utilisés avec des plantes aimant l’acidité contiennent du sulfate d’ammonium ou de l’urée enrobée de souffre.
cendre à éviter? Le nitrate de calcium et le nitrate de potassium ne doivent pas être utilisés comme engrais, même s’ils contiennent de l’ammoniaque. En effet, ces engrais peuvent faire augmenter le pH de votre sol.[12]
pas suffisant tout ça? ajouter des sels de fer.
*éviter d’acheter de la tourbe, les tourbières sont des trésors écologiques « en voie de disparition ».