Etude, découverte, comparatif, semis et achat groupé d'environ 125 ESPECES DE FRUITS reproductibles par graines (ne nécessitant pas de greffe), connus ou rares. Choisis pour leur douceur parmi des centaines la plupart sauvages comparés ici dans + de 50 tableaux. 10 fructifient en forêt (OMBRE TOTALE)! Certains résistent à la sécheresse! Grâce au "semis direct", ils réussiront mieux et exigeront moins d'eau. ……Pour lire la suite, fais glisser cette page vers le haut…
Pour mon usage personnel ce fut un très long travail de retrouver toutes ces espèces (parfois à l’étranger) et de les renseigner. Aussi j’ai pensé que ces informations vous seraient utiles, résumées dans le tableau que j’envoie sur demande, et détaillées dans des articles comparatifs, partiellement consultables sur fruitforestier.info.
Ci dessous une liste trouvée sur wiki, des 38 plus connus, mais les 40 variétés de l’article « tarif…bourse aux echanges » sont une sélection de cousins bien meilleurs, des fruits qui pourraient se manger crus en quantité. Si nous répandons ces graines en allant manger (ou semer sciemment) dans les espaces naturels, ces délicieuses autres variétés pourraient devenir plus communes, et la nature plus nourricière. Attention de cuire lorsque cela est conseillé, pour détruire des toxines ou principes anti-nutritifs (dans certaines graines et plus rarement fruits comme le sureau).
Également reproductibles fidèlement par semis, une minorité de cultivars: je les cite dans l’article « …semez… ».
Attention ! Certains de ces fruits peuvent être confondus avec des espèces toxiques d’apparence voisine. Ne consommez aucun fruit dont l’identité n’est pas absolument certaine. N.B.: Cette liste n’est pas exhaustive.
tu peux taper une partie du nom dans la fenêtre de recherche interne (sous le menu à droite), et trouver un article sur la variété meilleure à excellente, avec un TABLEAU comparatif des variétés de la même espèce. En cliquant sur les noms (colonne de gauche du tableau comparatif) tu peux voir la photo, ensuite reviens sur thermes-solaires.com avec la flèche « revenir à la page précédente » qui est généralement tout en haut à gauche de ton écran (navigateur).
Fruits – crus ou cuits. Saveur douce et agréable [2, 105] jusqu’à 1 cm de diamètre, il a une chair juteuse douce et une saveur délicieuse douce aromatique [K]. Produit en fin d’automne et début de l’hiver, très précieux à cette époque de l’année [K]. Les feuilles sont un substitut de thé [177].
Préfère un sol fertile Drainé,Une bonne plante pour les tapis humide, dans les pierres de rocaille, etc [11]. Les pTolère les sols secs. Tolère exposition maritime [182]. Rustique cultivées en plein air en Grande-Bretagne, réussit au sud et à l’ouest de Londres [11]. Un groupe de plantes dans une position ensoleillée sur un jardin de rocaille à Kew Gardens semblent être parfaitement heureux et robuste, la production d’une récolte raisonnable de fruits en Décembre 1996 [K].
Pré-tremper les graines pendant 24 heures dans l’eau chaude, puis semer en fin de l’hiver.
Boutures de bois mi-mûrs, 7 – 10 cm avec un talon, Juillet / Août. Pot en place à l’automne et hivernent dans un châssis froid. Plantez à la fin du printemps. Pourcentage élevé [78]. Boutures de bois mature de la croissance des saisons en cours, 7 – 12 cm avec un talon, Novembre ombragée et l’abri du gel. Plantez dans la fin du printemps ou début de l’automne. Pourcentage élevé [78].
Originaire des Andes du sud du Chili, au sud-ouest de l’Argentine, Tierra del Fuego et les îles Falkland, Myrteola nummularia mesure 10cm est souvent associé à
et Blechnum penna-marina. (Une fougère, encore + différente)
Myrteola nummularia serait le plus rustique des myrteaceae, d’abord recueilli par le naturaliste français Dr Philibert Commerçon, qui a accompagné Louis Antoine de Bougainville sur son voyage de circumnavigation entre 1766 et 1769. A chaque fois qu’il a eu l’occasion il a recueilli des plantes en grandes quantités. On pense qu’il a recueilli quelque 3.000 espèces nouvelles pour la science.
Il a de nouveau été recueilli auprès de Tierra del Fuego par Charles Darwin en 1833 lors de son voyage sur le Beagle. Il a été déplacé dans le nouveau genre de Myrteola en 1856. Il y avait eu un certain nombre de collections suivantes, mais n’a pas été mis en place pour la culture jusqu’en 1927 et on ne le trouve pas dans les jardins, même s’il a reçu le Prix du mérite RHS en 1967.
Feuilles arrondies en rangs jumelés. Les fleurs sont petites, blanches avec quatre ou parfois cinq pétales arrondis. Floraison habituellement d’Avril à Juillet ou Août, mais un petit nombre de fleurs sont presque toujours présentes. Les petites baies rose-rouge sont de longue durée, il ya toujours des fleurs ou des fruits présents sur les plantes, la plus grande partie de l’année, en même temps.
Comparaison:
PFAF recense aussi amo myrtus luma, qu’il note 3/5, demandant du soleil (+ de 7M de haut)
myrteola nummularia fait 10 cm de haut, tolère -15°C et est noté 4/5 par PFAF.
myrtus ugni molinae est aussi bien noté, mais moins tolérant (-6 à -8°C) et n’aime pas le calcaire.
Actuellement nombreuses graines « en stock » (il y a encore quelques coco du chili) et d’autres « en souscription », demander la liste (contact: onglet en haut à droite)
12m selon Pfaf mais 25m de haut selon le lien ci dessus/5m de large (Croissance TRÈS lente jusqu’à la 15ème année). Il faudra attendre 40 à 51ans (sud france: Hyères, Montpellier), voire 60 ans (plus au nord) pour qu’il fleurisse et fructifie.
Soleil
PERSISTANT
Tous sols
(En octobre à Hyères:) Fruit – env. 5 cm de diamètre [200]. Contenant une noix de coco de moins de 3cm de diamètre (JD).
Les fruits sont des drupes ovoïdes, monospermiques. Ils sont semblables à des petites noix de coco. Ils ont une pulpe orange ou jaune vif et fibreuse qui entoure une graine, contenant une chair blanche et comestible dont le goût rappelle celui de l’albumen de la noix de coco ordinaire.
Les endocarpes sont parcourus de la base au sommet par 3 sillons plus ou moins saillants, alternant avec les trois pores ronds ou ovales, situés à des hauteurs différentes, depuis la base jusqu’au milieu7. Ces trois opercules contiennent trois germes. La maturation de l’infrutescence du cocotier dure de février à mai dans l’hémisphère sud10. Cette infrutescence arrive également à maturation dans le sud de la France. La noix est appelée au Chili coquito.
Une agréable saveur de noisette [2] utilisées dans les sucreries [183]. La graine est d’environ 2,5 cm de diamètre [jd]. Une huile comestible a également été obtenue de la graine [46, 61, 105, 177].
Sève – crue ou cuite. Un goût très sucré, peut être utilisé comme une boisson rafraîchissante [1, 2, 11, 61], concentré dans le sirop dans les ferments de vin ou [183]. En enlevant la couronne du palmier, la sève commence à couler puis, si la section mince du tronc est retirée chaque jour, la sève continue à s’écouler pendant plusieurs mois [2]. Un rendement de plus de 400 litres de sève peut ainsi être obtenu de l’arbre [2].
JD: Il y avait un exemplaire au parc Olbius Riquier à Hyères (cote d’azur) selon wikipédia: mais il était mort et coupé quand j’y suis allé en octobre 2015. Je me demande si c’est l’effet répété du rundup, encore utilisé dans ce jardin rétrograde.
Ici http://www.greffer.net/discussion/viewtopic.php?f=30&t=5787&p=52790&hilit=jubaea+chilensis#p52790 JM écrit en mai 2016 qu’il y en aurait 2 gros sur le port de Lorient, un gros à hendaye et d’autres sur la côte méditerranéenne (et en Bretagne).
Depuis 1900 et à Torquay, un specimen faisait 7,5 mètres de hauteur en 1972 [11, 166].
À la Villa Thuret (devenue une station botanique de l’INRA), au cap d’Antibes, dans les Alpes Maritimes, le premier sujet est planté en 1858, 4 ans après le semis.
Probablement qu’il faudra une situation ensoleillée à l’abri dans un sol humide mais bien drainé [231]. Les plantes âgées sont beaucoup plus tolérants au froid que les plantes juvéniles [231]. Dans les régions à la limite de leur tolérance au froid, donc, il est prudent de cultiver les plantes dans des conteneurs pour quelques années, C’est une plante à croissance très lente, prend plusieurs années avant qu’il ne commence à former le tronc, la croissance s’accélère á la 15ème année. Il prend jusqu’à 60 ans pour fleurir et produire des semences [139]. L’arbre est très rare dans son aire de répartition naturelle (y étant le plus gros de tous les palmiers avec jusque 5 m de circonférence au sol) parce qu’il a été largement exploité pour sa sève comestible. Les arbres sont décapités pour qu’une grande quantité de sève exsude du tronc. L’arbre ne peut pas produire branches secondaires et il meurt donc après ce traitement [139].
Reproduction:
La graine peut prendre six mois à un an pour germer [200]. La tremper pendant 12 à 24 heures dans l’eau chaude dès réception puis semer directement en place ou en serre chaude?
La graine a une courte durée de vie (3 ans selon ce forum).La multiplication se fait exclusivement par semis. Le taux de germination est supérieur à 50 %. Pour obtenir des résultats satisfaisants, « il faut semer des graines très fraîches*, les faire hiverner (5 °C à 10 °C) quelques semaines en terre humide, puis les placer dans des conditions chaudes (27 °C) et humides. La croissance des plantules est délicate, car ces dernières sont sensibles à une maladie (sorte de fonte) dont les origines sont inconnues ». Il faut toutefois trois à huit mois pour obtenir la première feuille, simple et assez longue. La croissance est ensuite très lente les premières années, comme pour tous les palmiers. (wiki)
* les graines fraîches germent plus vite, c’est vrai avec presque toutes les graines (jd).
Des jubaea pas fraiches pourraient mettre 4 ans à germer selon ce forum
Cela veut dire selon l’origine des graines, si elles sont récoltées en juillet et qu’on les sème aussitôt en place, elles pourraient germer pendant les pluies du printemps suivant, sauf si on les met préalablement au frigo, et qu’on les arrose tous les jours à la main ou au goutte à goutte, puis qu’on protège du froid la jeune plantule car ce sont les sujets plus âgés qui tolèrent le gel. (jd)
On peut les premiers hivers, mettre de la paille et un plastique transparent, une cloche ou un chassis sur les jeunes pieds directement semés en place pour ne pas être transplantés. (jd)
Je vois sur les forums des échecs (ou délais?) en cas de semis direct en pleine terre, mais peut etre qu’un arrosage quotidien leur aurait donné succès.
-5°C. 15m. (vu à l’état sauvage selon http://fousdepalmiers.fr/html/forum/viewtopic.php?f=1&t=4432germination rapide, produit après 4 ans, noix 2 cm sucrée et huileuse appréciée des enfants. Tolère de légères gelées, ne supporte pas la culture en pot. Tronc plus frêle, rappelant le cocotier commun.
UN autre palmier fruitier tolérant le gel: Brahea edulis est le palmier de guadeloupe, -8 à -10°C
UN AUTRE PALMIER, LE BUTIA ODORATA (EX-CAPITATA), donne des fruits comestibles de couleur et goût d’abricot et pousse assez vite, pour résister jusqu’á -14°C à l’age adulte (selon le vendeur dont lien en début d’article), voire -2°C selon PFAF (la graine met 2 ou 3 mois pour germer), -10 à -12°C selon d’autres sources.
Selon PFAF: tous sols raisonnablement bons, même venteux, humides (drainés), ou secs lorsque la plante est bien établie depuis plusieurs années. tous PH.
Mais selon 8 membres collectionneurs que j’ai interrogés ainsi que https://fr.wikipedia.org/wiki/Goyavier_du_Chili il ne prospèrerait qu’en sols neutres ou acides, maximum 6,5 de PH.
Vos témoignages de succès et d’échecs sont également bienvenus en précisant au mieux votre sol.
idéal donc en haie sud ensoleillée, la règlementation imposant qu’à moins de 2 mètres de la limite de propriété, les arbres fassent moins de 2 mètres de haut.
(Aout à oct) Baies rouges et lisses – crues ou cuites [2, 3]. Une saveur absolument délicieuse, très aromatique aux goûts de fraises sauvages [11, 15, K]. Le fruit est de 6 à 15 mm de diamètre et également porté sur les petites plantes [K]. Les feuilles sont un substitut de thé [177, 183]. Les graines grillées sont un substitut de café [183].
Les goyaves du Chili, aussi appelées ugnis ou murtillas, sont des petites baies au goût très prononcé de fraises. encore peu connues, mais très appréciées de celles et ceux qui les connaissent. Les fruits se consomment frais, ou transformés, par exemple en sorbets. A Cornwall, dans le passé, il a été cultivé commercialement pour ses fruits [11, 59] (c’était un des fruits préférés de la reine Victoria).
Ce fruit possède la particularité d’avoir une peau de couleur plus claire lorsqu’il est mûr que lorsqu’il est encore immature. En conséquence, les fruits rouges sombre sont généralement immatures, et il faudra attendre qu’il deviennent d’une couleur rouge plus clair, avec des traces blanches par endroit, pour qu’il soient prêts à être récoltés.
Réussit à tout assez bon sol (ndlr: non calcaire). Les plantes établies sont résistantes [196] à la sécheresse. Une plante très ornementale [1]. La jeune la croissance au printemps peut entrez endommagés par les gelées tardives. Plantes de ce genre sont notamment résistantes aux champignons de miel [200].
Pré-tremper les graines pendant 24 heures dans l’eau chaude, puis semer sous serre pour planter après les dernières gelées attendues.
selon
http://www.greffer.net/discussion/viewtopic.php?f=13&t=2175&hilit=ugni
Les semis donnent de plus ou moins bons résultats. Plus la graine sera fraiche, meilleure sera la levée.
Le substrat de semis sera maintenu chaud et bien drainé. Selon Solko: « Ce que j’ai lu sur des pagina web de Chili, ou ils cultivent les Ugni a une echelle commerciale, est qu’ils conseillent de ne pas les planter a cote de, ou sur des terrains qui ont ete utilise comme vergers de poires, coings ou pommes. Justement a causes de maladies – je ne sais pas lesquelles – qui pouvaient se transmettre entre les deux especes. »
Le bouturage se réalise semi ligneux, bouture à talon. Le substrat est un terreau humide et graveleux. Pourcentage de réussite élevé.
Il est aussi possible de faire un bouturage à talon sur des rameaux ligneux, en début d’hiver. Bons résultats. Maintenir hors gel.
Boutures de bois mi-mûrs, 7 – 10 cm avec un talon, Juillet / Août dans un cadre. Pot en place à l’automne et hivernent dans un châssis froid. Plantez dans la fin du printemps. Pourcentage élevé [78]. Boutures de bois mature de la croissance des saisons en cours, 7 – 12 cm avec un talon, Novembre ombragée et l’abri du gel. Plantez à la fin du printemps ou début de l’automne. Pourcentage élevé [78].
Le marcottage se réalise en début d’automne et l’enracinement se fait l’été suivant.
Les adhérents connus depuis plus de 3 ans accéderont au nom de 2 autres ugni, de couleur noire, délicieux également. Ce dernier ne nous donne pas encore de graines, ne semble donc pas autofertile.
Il existe d’autres bons myrtus tolérant mieux le froid jusqu’à -15°C, et de meilleur goût selon moi (plus doux, moins résineux)
Des « bananes sauvages » dans votre jardin? Une grimpante, un fruit de la passion d’une variété sans acidité, à fleurs roses: La douceur sans acidité, dans une optique frugivore.
* Il s’agit d’une passiflore douce, la seule passiflore et le plus rustique parmi les 7 fruits subtropicaux ayant été cultivés puis marginalisés selon http://www.fao.org/docrep/018/t0646f/t0646f.pdf
Le lien précédent indique que cette Passiflore (appelée Tasco là bas), pousserait jusqu’à 3200M d’altitude au pérou, ce qui correspondrait sauf microclimats, à des records théoriques de froid de -8,5°C. Et ce même document indique qu’elle pousserait dans les quechuas. Il est vraisemblable qu’à de telles températures négatives, la partie aérienne meure et la plante reparte du pied au printemps.
Selon PFAF: Fruits – crus ou cuits [46, 105]. Une saveur agréable. [2] Un goût aromatique, il peut être mangé à la main ou utilisé comme aromatisant dans les crèmes glacées, les salades de fruits, poudings, etc. [183]. Le jus de ce fruit est très Prisé en Amérique du Sud [183]. Fruits individuels, jusqu’à 15cm de long et pesant 50 – 150g [196].
Détails de culture
Nécessite un sol bien Drainé avec beaucoup d’humidité dans la saison de croissance [1]. Sur un mur au sud en Grande-Bretagne, étant communément cultivé dans Penzance [49, 59]. Dans l’Amérique du Sud plantes peuvent tolérer froids occasionnels à -5 ° C [196]. Les plantes d’extérieur cultivées peuvent avoir leurs racines restreintes afin de réduire la croissance végétative et encourager la fructification [1]. Généralement pas de fruits en Grande-Bretagne [88]. Afin d’améliorer les chances de produire des fruits, il est préférable de polliniser utilisant le pollen de la fleur qui a été ouverte pendant 12 heures pour polliniser la fleur récemment ouverte avant midi [88]. Cultivée pour son fruit comestible en Amérique du Sud [46, 196]. Les rendements de 300 fruits par pied de vigne et 30 tonnes par hectare sont enregistrées en Amérique du Sud [196]. Plantes de ce genre sont notamment résistantes aux champignons de miel [200].
Propagation
Pré-tremper les graines pendant 12 heures dans de l’eau tiède, puis semer fin de l’hiver ou tôt au printemps dans une serre chaude. Si semé en Janvier et cultivé sur rapide, il peut fleurs et de fruits Dans sa première année [88]. La graine germe dans 1-12 mois à 20 ° C Repiquez les plants dans des pots individuels quand ils sont assez grand pour manipuler. Il vous avez l’intention de cultiver les plantes à l’extérieur, il a aussi probablement préférable de les garder dans la serre pour eux leur premier hiver et végétale sur permanents dans leurs positions dans la fin du printemps ou au début de l’été, après les dernières gelées attendus. Pailler les racines bien en fin d’automne pour les protéger du froid. Boutures de jeunes pousses, avec un talon de 15 cm, au printemps [1]. Feuille bourgeon boutures au printemps. De boutures de bois pleine maturité en début d’été. Prend trois mois. Pourcentage élevé [3].
Autres fruits de la passion (généralement acides):
Selon mesarbustes.fr, Unique, Marian et Gemini seraient plus rustiques, tandis que Coolidge le seraient moins. (selon label « conseillé au nord de la loire » ou « au sud de la loire »).
Je vais les essayer cette année ainsi que d’autres cultivars américains, précoces et rustiques.
-7 à -15 selon cette source (jd: les miens n’ont pas souffert à -10, le placer à l’ombre du soleil levant pour éviter un dégel trop rapide, comme toutes les plantes en limite de tolérance)
3/3m
PERSISTANT
soleil
Tous sols
Parties comestibles: Fruits, fleurs;
Fruit – cru ou cuit [3, 11, 183]. Un goût aromatique délicieux, un peu comme un croisé d’ananas et de fraise [183].
Jd: attendre qu’il soit bien mûr, certaines personnes trouvent cela trop nouveau, étrange, et comparent son parfum à celui d’un médicament. Je me demande s’il s’agirait d’une « méfiance » de l’organisme face à l’inconnu, qui disparait après quelques repas de feijoa.
Le fruit est meilleur consommé cru mais il peut être cuisiné en tartes, gâteaux, puddings, confitures, gelées, etc. [183]. Les Fruits peuvent subir des dommages des gelées d’automne, Bien que le goût se développe mieux à basse température [200]. Le fruit mesure jusqu’à 7,5 cm de long [200].
Fleurs – premières [3, 160, 166]. Les pétales sont douces, croustillantes et délicieuses, au goût plus fruité que de nombreux fruits [K].
semis:
jd: il existe aussi des cultivars de feijoa, qui se reproduisent assez fidèlement par semis selon le collectionneur Gavot. Dans le tableau ci-dessous ne figure que 1 feijoa: l’espèce-type (acca sellowiana). Assez proches des cultivars qui sont des sélections de semis de hazard de l’espèce-type (car chaque semis peut donner de légères variations, meilleures ou moins bonnes, par rapport au fruit d’origine).
boutures:
Tous feijoa peuvent se marcotter, greffer, ou se bouturer en prenant fin juin des pousses herbacées prélevées vers le bas de l’arbre*. Les boutures développent les racines de la même variété, et pourront peut-être donner naissance à de jeunes arbres donnant les mêmes fruits. Ainsi l’introduction d’espèce est durable. Même si l’arbre meurt ou gèle et repart des racines.
Boutures: 2-3 noeuds, 2 feuilles gardées coupées à moitié, 8-12cm, le tout avec hormone (et vraisemblablement sous atmosphère humide, sous cloche ou sous brumisation comme généralement les boutures herbacées):
Bouture ligneuse (fin octobre) : 20% de réussite Bouture herbacée (fin mai) : > 50% Bouture herbacée (fin juin) : 70%, voire 90% lorsque le diamètre est entre 2,5 et 3mm
* Prises en bas de l’arbre, les boutures réussissent jusqu’à 90% contre 9% si prises en haut de l’arbre.
marcottes:
enterrer une branche basse et attendre longtemps que les racines s’y développent.
Fruits complètement mûrs – crus, cuits ou séchés pour l’hiver [1, 2, 3, 62, 92, 94, 257]. Aliment de base pour les tribus indiennes d’Amérique du Nord indigènes, les fruits sont de grande taille, charnus, doux et agréables au goût [85, 92, 95, 183]. Le fruit ovoïde est d’environ 17cm de long et large de 7cm [200]. Considéré comme un luxe par les indigènes Amérindiens [207], les fruits étaient souvent cuits dans des fours [216]. Le fruit cuit peut être employé dans gâteaux, puis séché pour une utilisation ultérieure [257]. De grandes quantités de fruits a Causé la diarrhée chez les personnes qui n’y sont pas habituées [85]. Le fruits secs peuvent être dissous dans l’eau pour faire une boisson [257]. Les boutons floraux – cuits [2, 62, 95, 183]. Un goût de savon [85]. Les fleurs sont meilleures âgées [85] Ils sont riches en sucre [94]. Les fleurs, récoltés avant les pluies d’été (qui les rend amères), ont été utilisées comme légume [257]. Tiges florifères – cuites [257]. Récoltées avant que les fleurs s’ouvrent puis rôties [257]. Graines – cuites. Elles peuent être rôties et ensuite broyées en une poudre et bouillies [62, 85]. Les (tender crowns) des plantes ont été rôties et mangées en temps de pénurie alimentaire [257]. Les jeunes feuilles ont été cuites comme dans les Soupes aromatisantes [257].
Les racines contiennent des saponines [222]. Alors que les saponines sont très toxiques pour les humains, ils sont mal absorbés par l’organisme et ainsi tendance à passer à travers. Ils sont aussi détruits par la chaleur prolongée, telle que lente cuisson dans un four. Les saponines sont présents dans de nombreux aliments courants tels que les haricots [K]. Les saponines sont beaucoup plus toxiques pour certaines créatures, comme les poissons, et les tribus de chasse ont toujours mis de grandes quantités d’entre eux dans les ruisseaux, les lacs, etc pour étourdir ou tuer les poissons [K].
Ses fibres sont exploitables pour le petit artisanat.
conseils de culture:
Prospère dans tout sol, mais préfère un sol sableux et l’exposition totale au sud [11]. Les plantes sont plus résistantes Cultivée sur les sols sablonneux pauvres [200]. Préfère une position chaude et sèche [166], déteste une forte pluie [3]. Les plantes établies sont très résistantes à la sécheresse [11]. Seulement rustique dans les zones plus douces de la Grande-Bretagne [3, 200]. Un autre rapport indique que les plantes sont robustes à l’a fait au moins 30 ° C [164]. Une plante à Kew (1992) a traversé les 3 derniers hivers extérieur [K]. Cette plante est fermée en plein essor en 1999, même si elle n’a pas beaucoup grandi et n’a pas fleuri [K]. Une autre est des plans qui évolue dans un situation ensoleillée ouverte au jardin botanique de Cambridge et doit avoir connu des températures d’au moins -10 ° C, probablement un peu plus faible [K]. Dans les plantes environnement naturel, ses fleurs ne peuvent être pollinisées par une espèce de papillon. Ce papillon ne peut pas vivre en Grande-Bretagne et, si nécessaire est des fruits et des semences, la pollinisation manuelle est nécessaire. Cela peut être très facilement et fait avec succès en utilisant quelque chose comme un petit pinceau. couronnes individuelles sont monocarpique, meurent après la floraison [233]. Toutefois, la Couronne veut produire généralement un certain nombre de pousses latérales avant de cette thèse et se développera à fleurs des années plus tard [233]. Les plantes de ce genre sont notamment résistantes aux champignons de miel [200]. Les membres de ce genre semblent être à l’abri des prédations des lapins [233]. Particularités: indigène nord-américaine, fleurs parfumées, fleurs attrayantes ou fleurs.
(pré tremper en eau tiède 24 à 72H maxi ou jusqu’à apparition d’un point blanc, puis semer à 20°C)
au printemps dans une serre.Il germent Habituellement dans les 1-12 mois si elles sont conservées à une température de 20 ° C.
Conseils plus compliqués pour les semis indirects: Repiquer les plants dans des pots individuels quand ils sont assez grands pour gérer et faire croître leur dans le cadre de serre ou froid pendant au moins deux de leurs premiers hivers. Plantez les à leurs postes permanents au début de l’été et envisager de leur donner une certaine protection hivernale pendant au moins leur premier hiver en plein air – un volet simple verre est généralement suffisant [K]. Les semences sont pas produites en Grande-Bretagne, à moins sont les fleurs pollinisées main. Les boutures de racines à la fin de l’hiver ou au début du printemps. Lift en Avril / mai et éliminer les petits bourgeons de la base de la tige et rhizome. Tremper dans la cendre de bois sec pour arrêter les saignements et plante dans un sol sablonneux dans des pots dans une serre jusqu’à l’arrivée [78]. Division des rejets à la fin du printemps [3]. Grandes divisions peuvent être plantés directement dans leurs positions permanentes. Nous avons trouvé fait il est préférable de pot divisions en petits et les poussent dans l’ombre de la lumière dans un cadre serre ou froid jusqu’à ce qu’ils soient de plus en plus loin bien. les planter dans le printemps suivant.
Fruit – cru. Une saveur sucrée mais très douce [K]. Graines – cuites [22, 46, 105, 161, 257]: goût amer [92]. Peuvent être torréfiées et moulues en poudre et utilisées pour faire pain ou bouillie [183].
Un délicieux thé est fait par trempage des rameaux verts ou secs dans de l’eau bouillante jusqu’à ce qu’ils deviennent orange ou rose [21, 92, 95, 105, 161, 183]. Appelé le « thé des mormons » parce qu’il remplaçait le café interdit par leur religion, pour « énergiser ».
Nécessite un sol limoneux bien Drainé et une position ensoleillée [1, 11]. Les plantes établies sont résistantes à la sécheresse et sont aussi tolérantes à la chaux [200]. Dioïque: Plantes mâles et femelles doivent cultivés si on veut obtenir des semences. Graine: directement en pleine terre, bien repérée au moyen de pierres ou bâtons pour arrosages fréquents et éventuelle protection contre le gel le 1er hiver. Ou méthode horticole: il serait préférable de semer aussitôt mûres à l’automne dans la serre [200]. Peut également se semer au printemps dans une serre dans un compost de sable [K]. Repiquez les plants dans des pots individuels dès qu’ils sont assez grands, pour croître leur premier hiver au-moins dans la serre. Plantez au printemps ou début de l’été, après les dernières gelées attendus et leur donner une certaine protection pendant leur premier hiver [K]. Division au printemps ou à l’automne [238]. Marcottage. »
Pour Le thé des mormons avez vous tenté une petite scarification ?
**For a review of the alkaloid distribution in different species of the genusEphedra see Jian-fang Cui (1991).[21] Other American and European species of Ephedra, e.g. Ephedra nevadensis (Nevada Mormon tea) have not been systematically assayed; based on unpublished field investigations, they contain very low levels ephedrine (less than 0.1%) or none at all.[22]
ne fixerait pas l’azote selon: http://www.greffer.net/discussion/viewtopic.php?p=51946#p51946
Il fixerait l’Azote même s’il n’a pas de nodosités racinaires selon Ferreol : « …Gleditsia, comme beaucoup d’autres Cesalpinioideae, celui-ci ne porte pas de nodosités au niveau de ses racines. Cependant, ça ne signifie pas qu’il n’a pas de symbiotes racinaires. J’ai trouvé une vieille publi de 1925 (Friesner disponible ici: https://journals.iupui.edu/index.php/ia … /view/4192) qui met en évidence des bactéries endosymbiotes dans des épaississements racinaires de cet arbre. Les plantes infectées (Rhizobium) ont un système racinaire plus développé que les plantes cultivées en milieu stérile, qui par ailleurs ne présentent pas ces structures racinaires. »
« -> c’est pas parce qu’il n’y a pas de nodosité qu’il n’y a pas fixation d’azote.
-> c’est pas parce qu’il y a fixation d’azote au niveau d’une nodosité que tout le monde en profite à fond, même si il y a toujours un peu d’azote fixé qui finit sa course ailleurs que dans la plante portant la nodosité (tu cites d’ailleurs le chiffre de 2% de restitution directe, sans compter les restitutions indirectes). »
Graines – crues ou cuites. Il peut contenir jusqu’à 30% de sucre [160]. Les jeunes graines ont le goût de pois crus [183]. Les graines sont pas toujours pris en charge dans les régions maritimes parce que l’arbre préfère les étés longs et chauds. [11] Les graines ovales sont environ 8 mm de long [227]. Ils contiennent de 10,6 à 24,1% de protéines, de 0,8 à 4,3% de matières grasses, glucides 84,7%, 21,1% de fibres, 4% de cendres, phosphore 280 mg de calcium et 320 mg par 100g [218]. Les graines ont été torréfiée et utilisé comme un substitut de café [269]. Gousses – la pulpe est plus ou moins douce et consommée crue ou transformées en sucre [149, 159, 183]. Les jeunes gousses peuvent être cuites et mangées [183]. La pulpe dans les gousses âgées devient amère [227]. Les gousses sont jusqu’à 40cm de long et 4 cm de large [227]. Une boisson au goût sucré, agréable peut être fabriqué à partir des gousses [257]. La pulpe des graines a été utilisée pour faire une boisson [257].
JD: Attention, à considérer comme un pionnier à ne pas introduire dans la nature, car trop envahissant et trop peu intéressant sur le plan alimentaire. Pionnier: pour faire de l’ombre sur des terrains incultes et secs en plein soleil, afin de permettre ensuite la réussite de semis d’autres arbres dans l’ombre des Gleditsia et Celtis. DANS CETTE OPTIQUE le Gleditsia japonica est préférable, car moins haut, pourra ainsi se faire dépasser par les autres arbres. Le pionnier exigeant du soleil, il laisse ensuite la place aux arbres dont il a permis l’implantation grâce à son ombre. Il est donc important de choisir des pionniers nains.
Je propose donc des graines d’un gleditsia triacanthos très productif et sans épines à ne semer que si vous êtes certain de pouvoir les (faire) couper ensuite, et des graines d’un gleditsia japonica nain sans épines avec des gousses bicolores bien charnues et sucrées (avec un meilleur goût comparé au févier d’amérique G. triacanthos). J’initie le conseil de Gleditsia japonica dont il n’était pas fait mention dans les livres, forums et stages de permaculture jusqu’alors en 2017.
Les hauteurs des adultes dans le tableau ci dessous varie selon les sources. J’ai vu un sinensis de 15 à 20m qui faisait péricliter un pin…