Etude, découverte, comparatif, semis et achat groupé d'environ 125 ESPECES DE FRUITS reproductibles par graines (ne nécessitant pas de greffe), connus ou rares. Choisis pour leur douceur parmi des centaines la plupart sauvages comparés ici dans + de 50 tableaux. 10 fructifient en forêt (OMBRE TOTALE)! Certains résistent à la sécheresse! Grâce au "semis direct", ils réussiront mieux et exigeront moins d'eau. ……Pour lire la suite, fais glisser cette page vers le haut…
Tous les psidiums brésiliens résistent à -3°C tant qu’il y a moins de 6 jours de gel à cette température, selon Helmut, un collectionneur portugais.
Psidium cattleianum: “goyave-fraise”
gèle à -7°C chez henri Fruit rouge d. 4cm – cru ou cuit [1, 3, 61]. Doux et aromatique. La saveur est plus prononcée que celle de la fraise goyave jaune, mais n’a pas le musc de la goyave commune [183]. Le fruit a une saveur acide-sucrée agréable lorsqu’ils sont consommés crus [2, 46], mais elle peut aussi être utilisée dans les conserves [177]. Le fruit est d’environ 4 cm de diamètre [200].
toujours selon pfaf, Les feuilles contiennent des composés actifs contre les souches de bactéries Gram-positives résistantes aux antibiotiques, qui sont d’importants pathogènes humains. Ils contiennent des flavonoïdes, des saponines, des tanins et des huiles essentielles, principalement du b-caryophyllène. Les fruits et les feuilles sont utilisés en médecine traditionnelle contre les hémorragies, la diarrhée et les coliques. Les feuilles sont une source d'huiles essentielles produites après distillation [1-8].
Nécessite un sol assez sableux bien drainé [1]. Nécessite une protection en serre fraîche en Grande-Bretagne[1]. Tolère de légères gelées de courte durée[200] et des étés frais[3], ce qui lui permet de réussir en extérieur dans les régions les plus douces du pays. Plus résistant au froid que la goyave commune. N’aime pas beaucoup d’humidité. Parfois cultivé pour ses fruits comestibles, il existe quelques variétés nommées[183]. Tolérances particulières du sol : stérile, peu profond [1-8].
P. C. Littorale:
Fruit jaune d. 4cm – cru ou cuit. Doux et aromatique [3, 105]. Une saveur sucrée acidulée agréable. Riche en pectine, Cette espèce a une saveur supérieure à P. littorale longipes [46]. Le fruit est d’environ 4 cm de diamètre [200].
Cultivé dans les climats tempérés chauds [200]. les détails de culture Nécessite un sol sableux bien drainé avec leafmold [1]. Pas très robuste pour l’Angleterre, il est préférable de cultiver en serre, mais il peut tolérer de courte durée de légères gelées [200] et pourrait donc réussir en extérieur dans les domaines les plus doux du pays. Parfois cultivé pour son fruit comestible.
Propagation Graines – semer au printemps dans une serre chaude. Leur donner une certaine protection contre le froid de l’hiver pendant au moins leurs deux premiers hivers.
Boutures de demi-mûre bois, Juillet / Août.
-3°C? (ce qui me fait hésiter à l’inclure dans la collection, il n’est pas noté des plus délicieux et PFAF indique qu’il ne supporte pas le gel, d’autres indiquent -3°C. En faisant de nombreux semis, pourrait-t-on sélectionner des plus résistants au froid.
6m
Soleil
Persistant; Fleurs en mai (hermaphrodites).
convient à tous sols assez sableux, secs ou humides
P. GUavaja:
-5°C? aucun dégât à -4 chez Benoit au centre ville de nîmes.
espèce (sub)tropicale, extrêmement riche en vitamine C et protéines.
Une décoction de la plante est antispasmodique, astringente, fébrifuge et vulnéraire[272 ]. La goyave présente une action antibactérienne contre les agents pathogènes intestinaux tels que Staphylococcus[303 ]. Toutes les parties du jeune fruit sont astringentes[303 ]. Les fruits mûrs séchés sont recommandés comme remède contre la dysenterie, tandis que les feuilles et les fruits sont utilisés comme remède contre la diarrhée[303 ]. Le fruit mûr et frais est consommé comme remède contre la constipation[311 ]. L’eau provenant du trempage des fruits est bonne pour traiter le diabète[303 ]. Le jus de fruit clair a été recommandé comme traitement de l’hépatite, de la gonorrhée et de la diarrhée[303 ]. L’huile de la graine contient du bisabolène et des flavonoïdes qui présentent des propriétés anti-inflammatoires[303 ]. Les composés présents dans les feuilles ont montré une activité antidiabétique[311 ]. Les feuilles sont utilisées comme traitement contre la diarrhée, la toux, les maux d’estomac et la dysenterie [307, 311]. Les feuilles sont pilées, pressées dans de l’eau salée et la solution est utilisée pour traiter les maux de dents[311 ]. Une décoction de feuilles ou d’écorce se prend en externe comme lotion pour les affections cutanées, la teigne, les plaies et les ulcères[303]. L’écorce, mélangée aux racines d’Achyranthes aspera et d’Urena lobata, est utilisée pour traiter la diarrhée et la dysenterie[272 ].
Arbre de jardin. Cour. Spécimen. Petit arbre d’ombrage. Grande véranda lumineuse. Utilisations agroforestières : Culture fruitière populaire avec de nombreuses autres utilisations, la plante réussit en plein soleil et s’établit rapidement dans les pâturages, etc. ; c’est une excellente espèce pionnière à utiliser en permaculture lors de la création de jardins boisés[K ]. La plante a été identifiée comme utile pour la bio-indication et comme bio-accumulateur en Inde. Il est sensible au dioxyde de soufre[303 ]. Autres utilisations Les feuilles et l’écorce peuvent être utilisées pour la teinture et le tannage[272, 303]. Les feuilles sont pilées avec du lait de coco et d’autres substances pour fabriquer une teinture qui rend la soie noire[307]. Les feuilles sont la source d’une huile essentielle qui contient du méthylchavicol, de la perséine et du d-pinène[303 ]. La plante possède des propriétés insecticides[303 ]. Le bois de cœur est brun ou rougeâtre ; l’aubier est brun clair. Le bois est dur, moyennement lourd, moyennement résistant, très élastique et moyennement durable. Il est utilisé pour les manches d’outils, les poteaux de clôture ainsi que dans la menuiserie et le tournage[303, 419]. Le bois fait d’excellents bois de chauffage et de charbon de bois, au moins en partie en raison de son abondance, de sa propagation naturelle et de sa classification comme mauvaise herbe indésirable[303].
La goyave est un arbre rustique qui s’adapte à un large éventail de conditions de croissance, depuis les plaines tropicales humides jusqu’aux altitudes plus fraîches, fructifiant à des altitudes allant jusqu’à 1 500 mètres et survivant jusqu’à 2 000 mètres[200, 303]. Il peut supporter une large gamme de températures ; les rendements les plus élevés sont enregistrés à des températures moyennes de 23 à 28°C, tandis que dans les régions subtropicales, les arbres au repos peuvent résister à de légères gelées, et 3,5 à 6 mois (selon le cultivar) de températures moyennes supérieures à 16°C suffisent pour la floraison et la fructification. [303 ]. En dormance, la plante peut survivre à des températures allant jusqu’à environ -5°C, mais les jeunes pousses peuvent être gravement endommagées à -1°C[418 ]. Il peut également tolérer des niveaux de précipitations faibles à modérés, mais pour une bonne fructification, il lui faut au moins 1 000 mm par an avec une période sèche et claire pour permettre à ses fruits de mûrir[200 ]. Il préfère une pluviométrie annuelle moyenne comprise entre 1 000 et 3 000 mm, mais peut tolérer 400 à 5 000 mm[418 ]. Pour une production maximale sous les tropiques, il faut des précipitations réparties sur l’année[303 ]. Si le fruit mûrit pendant une période très humide, il perd sa saveur et peut se fendre[303 ]. Préfère un sol fertile et rétenteur d’humidité et une position ensoleillée[307 ]. Les plantes tolèrent une gamme de conditions du sol[200 ]. Modérément tolérant aux sols salins[404 ]. Préfère un pH compris entre 5,5 et 7,5, tolérant entre 4 et 8,5[418 ]. La plante est plus résistante à la sécheresse que la plupart des cultures fruitières tropicales[303 ]. La goyave échappe souvent aux cultures et est considérée comme une mauvaise herbe nuisible dans de nombreux pâturages tropicaux – sa prolifération peut entraîner l’abandon d’un pâturage[303 ]. Il existe de nombreuses variétés nommées, sélectionnées pour leurs formes de fruits supérieures[301 ]. Les plantes ont des racines profondes, mais ne forment pas de racine pivotante[303 ]. Les arbres fleurissent toute l’année[307 ]. Les semis peuvent fleurir dans les 2 ans ; les arbres propagés par clonage commencent souvent à produire au cours de la première année après la plantation[303 ]. Les arbres atteignent leur pleine production après 5 à 8 ans, en fonction des conditions de croissance et de l’espacement[303]. La goyave n’est pas un arbre à longue durée de vie (environ 40 ans), mais les plantes peuvent porter beaucoup de fruits pendant 15 à 25 ans[303 ]. Les rendements moyens se situent entre 30 et 40 kg/plante chez les plants âgés de 5 ans et atteindront une production maximale de 50 à 70 kg vers 7 ans s’ils sont bien gérés[303 ]. Période de floraison : fin du printemps/début de l’été. Couleur de floraison : blanc/presque blanc. Espacement : 20 à 30 pieds (6 à 9 m).
espèce
limite froid bref
vitamine C
proteines
P. guavaja
goyave tropicale,
-4, -5°C?
+2000mg/kg
36g/kg
P. cattleianum
“goyave-fraise”
-6°C
max 500mg/kg
?
P. striatulum
goyave à feuilles étroites: tolère jusqu’à 6 mois de sécheresse et dès 800mm de pluie annuelle. fruit délicieux
C. Caerula serait la meilleure variété de sureaux appréciée des indiens du canada: mais les notations “3” ou “4” semblent surévaluées d’un point (tableau), probablement influencées par des souvenirs d’enfance (confiture de sureau?).
-15°C ou un peu plus froid
3m
mi-o, soleil
feuilles caduques, fleur de Juin à Juillet, et les baies mûrissent de Aout à Septembre. Les fleurs sont hermaphrodites (possèdent les organes mâles et femelles) et sont pollinisées par les insectes. Tous sols et PH, même argileux lourd, secs (S. Caerula)….
La plante peut tolère des vents forts, l’exposition maritime est tolérée par S. Nigra. Il peut tolérer la pollution atmosphérique.Fruit – crus (si bien mûrs ou séchés), cuits ou utilisée dans les conserves [2, 3, 15, 85, 94, 183, 257]. Plutôt sucré et juteux, mais plein de petites graines [82, 256], ceci est la meilleure saveur des anciens d’Amérique du Nord [212]. Le fruit est plutôt sympa cru, sept personnes ont mangé et profité d’une petite quantité de fruits crus sans aucune séquelle [K]. Le fruit peut être séché pour une utilisation ultérieure [257], le fruit est habituellement séché avant d’être utilisé [183]. Le fruit est d’environ 6 mm de diamètre et est porté en grosses grappes [200]. Une certaine prudence est conseillée, lesfruits verts (immatures)et les tigesde certains(sinon tous) les membresde ce genresont toxiques[9, 76, 226]. Le fruitde cette espèce aété connu pour causerdes maux d’estomacà certaines personnes. Lefruit immaturecontientun alcaloïdetoxique et des glycosidescyanogènes[274]. La toxinedu fruitest susceptible d’êtrede très faible toxicitéetest détruitelorsque le fruitest cuit[65, 76].. Fleurs – crus ou cuits en beignets, etc. [15, 85, 94, 183]. Très agréable et rafraîchissant [K]. Un thé agréable est fait à partir des fleurs séchées [62, 183].
Dégage toute responsabilité pour les effets néfastes de l’utilisation des plantes. Toujours demander conseil auprès de professionnels et médecins avant d’utiliser un remède, car chaque patient est un cas unique Analgésique; Antiseptique; Astringente; Diaphorétique; Émétique; Fébrifuge; Hémostatique; Laxatif; Pectoral; Salve; Stomachique, toniqueHémostatique [94]. Une infusion ou d’un extrait fait à partir des fleurs, de l’écorce et la racine a été utilisée pour guérir les fièvres et reproche, il est également laxatif [226]. Une décoction de la plante a été utilisée comme un lavage antiseptique pour traiter les démangeaisons [257]. L’écorce est analgésique et astringent [257]. L’infusion a été utilisé dans le traitement de la diarrhée et les rhumatismes [257]. Une décoction a été utilisé comme un lavage dans le traitement de gonflements et des douleurs [257]. Une pommade préparée en mélangeant l’écorce avec de la graisse a été utilisé à l’extérieur dans le traitement des brûlures, ulcères, irritations de la peau, etc. [226]. L’écorce fraîche a été placé dans une cavité de la dent pour soulager la douleur des maux de dents [257]. L’écorce interne est fortement émétiques [257]. Les feuilles sont analgésique, antiseptique, sudorifique, fébrifuge et purgatif [257]. Une décoction a été utilisé dans le traitement de rhumes nouvelles [257]. Une infusion de feuilles et de fleurs a été utilisé comme un bain de vapeur dans le traitement des rhumes et maux de tête [257]. Une décoction de feuilles a été utilisé comme un lavage antiseptique sur les membres touchés par un empoisonnement du sang [257]. Les feuilles écrasées ont été utilisés comme un cataplasme pour traiter les brûlures et une enflure des mains [257]. Une décoction de la racine a été utilisé dans le traitement de troubles de la vessie et de la dyspepsie [257]. Une décoction de fleurs a été utilisé dans le traitement des troubles de l’estomac et des douleurs pulmonaires [257]. Appliqué à l’extérieur, il a été utilisé pour traiter les entorses et les contusions et comme un lavage antiseptique pour les plaies ouvertes et des démangeaisons [257]. Un vin fait à partir du fruit a été utilisé comme un tonique [257]. Autres utilisations Musicale; Répulsif; Tinder; Wood.Une décoction de feuilles, lorsque arrosée sur les plantes, repousse chenilles [94]. La fleur séchée vient repousser les insectes et les rongeurs [101]. Tiges creuses peuvent être utilisés comme des flûtes et des tuyaux [257]. La moelle des tiges a été utilisé comme un briquet pour allumer des feux [257]. Bois – léger, doux, faible, à gros grains. Aucune valeur commerciale, si elle est utilisée localement pour flûtes, des brochettes, des chevilles, des pailles, etc [82, 94, 99, 229]. les détails de culture Supporte la plupart des sols, y compris la craie [200], mais préfère les sols limoneux humide [11, 200]. Il pousse bien dans les sols argileux lourds. Tolérance à l’ombre, mais est meilleur dans une position ensoleillée [1]. Tolère la pollution atmosphérique et les situations côtières [200]. Un arbre à croissance rapide mais de courte durée dans la nature [229]. Un arbuste à Kew en Septembre 1993 a été porteur d’une bonne récolte de fruits savoureux [K]. Plantes de ce genre sont notamment résistantes aux champignons de miel [200].Propagation Seed – préférable de semer dès qu’il est venu à l’automne dans un châssis froid, quand il devrait germer au début du printemps. Les graines stockées peuvent être semées au printemps dans un cadre froid, mais sera probablement germer mieux si elle est donnée deux mois chaleureux suivi de 2 mois de stratification à froid première [78, 98, 113]. Repiquez les plants dans des pots individuels quand ils sont assez grands pour manipuler. Si une bonne croissance est faite, les jeunes plants peuvent être placés dans leurs postes permanents au cours de la début de l’été. Sinon, soit les mettre dans une pépinière abritée, ou de les garder dans leurs pots dans un endroit abrité et les planter au printemps de l’année suivante. Boutures de bois mi-mûrs, 7 – 10 cm avec un talon, Juillet / Août dans un cadre [78]. Boutures de bois mature de la 15 croissance de la saison en cours – avec un talon de 20 cm, fin de l’automne dans un cadre ou d’un lit abrité en plein air [78].
Différences entre sambucus dans la colonne de droite: seul S.C. tolère la sécheresse, seul S. N. tolère l’exposition maritime.
feuilles caduques, fleur de mai à Juin, hermaphrodites (possèdent les organes mâles et femelles) Tous sols acides à très acides, secs ou mieux humides. (photo: lien bleu dans tableau ci après); Fruit – crus ou cuits [2, 3, 55]. Délicieusement épicé et sucré, ils peuvent être consommés à la main ou utilisés dans les tartes, confitures, etc. [183]. Ils peuvent également être séchées pour une utilisation ultérieure [62]. Le fruit séché peut être broyé en une poudre puis mélangé avec des farines de céréales pour faire du pain [257]. Le fruit est plutôt minable [235]. Le fruit est environ 8 mm de diamètre [200].
Les utilisations médicinales: En Déclinant toute responsabilité pour les effets néfastes de l’utilisation des plantes. Toujours demander conseil auprès de plusieurs professionnels et médecins avant d’utiliser des plantes, ils sauraient mieux si elles peuvent vous soigner et ne pas être néfastes dans votre cas précis.Parfois utilisé comme Astringente; Florilège.L’infusion de feuilles ou de l’écorce, a été utilisé dans le traitement de la dysenterie [257]. L’infusion de feuilles a été utilisé dans le traitement de la maladie de Bright [257]. Autres utilisations Florilège. les détails de culture Nécessite un sol tourbeux humide sans calcaire, en plein essor au soleil ou à mi-ombre [3, 182, 200]. Les plantes sont robustes à environ -15 ° C [200]. Parfois cultivé pour son fruit comestible, il y a quelques variétés nommées sélectionnés pour leurs fruits plus gros [22, 46]. Les petites feuilles ovales sont couverts avec des globules sur la face inférieure de laquelle une gomme résineuse est dégageait [245].Propagation Seed – meilleure semé à l’automne dans un châssis froid [200]. Les graines stockées nécessitent un mois stratification chaude suivie de 2 mois froids [113]. Lorsque suffisamment grand pour être manipulés, repiquez les plants dans des pots individuels de compost sans calcaire et les cultiver dans l’ombre la lumière dans une serre ou un cadre froide pendant au moins leur premier hiver. Plantez dans leurs postes permanents à la fin du printemps ou au début de l’été quand ils sont au moins 15 cm de hauteur. Boutures de demi-mûre bois, Juillet / Août dans un cadre [200]. Superposition. Division au printemps.
Quoi de plus étonnant de voir des maisons juste au bord d’une voie de circulation? et quel intérêt non plus pour les automobilistes, obligés de ralentir l’allure?
Au contraire, un lieu de vie a l’écart de la route est plus plaisant, et une route bordée de nature aussi.
Dans notre cas, le lieu de vie est un lieu de nature aussi, car on s’y invite, on en fait partie au lieu de la “remplacer”.
Il serait une erreur de défricher, car la vegetation favorise le developpement d’arbres plus grands dans le cycle de formation d’une forêt. Les arbres nous abritent de tout: le chaud, le gel, le vent, le soleil… Ils nous donnent l’essentiel, le ravissement et l’inspiration.
Des dosses verticales donnent le meilleur mymétisme avec la forêt, et un bon support de végétalisation pour les grimpants.
(cet article et son blog propose des solutions pratiques contre les moustiques, vous pouvez participer de vos avis en bas de cet article – La fin de l’article indique les mesures en cours à l’écohameau)
Les moustiques…
Pendant de nombreuses années, d’un point de vue anthropocentriste, je me suis souvent demandé si c’était erreur de la création! qui nous rend la nature un peu hostile,
Je voudrais partager en introduction ce qui fut pour moi une révélation, le point de départ de ma recherche et de cet article:
– La ville de Fiesole, en italie, semble avoir réussi sa démoustication sans pesticides, j’y reviendrais plus loin,
A- Dans le marais poitevin, autour de Coulon (79, près de Niort), il y a des centaines d’hectares de marais et canaux, plein de villages et pas de moustiques.(ni de quelconque mesure de démoustication)
Dans cet ancien estuaire, la vase qui s’était déposée a été creusée par nos ancêtres en canaux et parcelles de terre où hommes et vaches vont en barque. Une écluse régule le niveau tant que les canaux sont toujours en eau.
– on y trouve beaucoup de libellules, et étant donné la richesse des alentours (arbres creux, etc), beaucoup de chauve-souris et autres grenouilles, et même des loutres, indicatrices d’un milieu peu pollué.
B- Dans l’estuaire du Rhone, en Camargue, il y a (beaucoup) de moustiques:
– Les marais y sont épisodiquement mis en eau et asséchés, chaque année. Il n’y a pas beaucoup d’arbres et la vie aquatique y est bouleversée chaque année (les larves de libellule ont besoin de 2 a 5 ans, donc quelques mois de mise en eau ne leur suffit pas – tandis que une larve de moustique a besoin d’une a deux semaines).
– il y a bien des libellules dans les lieux constamment en eau, mais ne peuvent chasser tous les moustiks sur une surface 1000 fois supérieure qui devient en eau le temps d’une saison.
C- En Malaisie, il y a beaucoup de moustiques MAIS Dans un campement de jungle tropicale profonde pourtant riche en flaques d’eau (loin des villages), je n’ai pas vu de moustiques, tandis qu’y fourmillait beaucoup de créatures diverses, y compris des chauve souris.
le site de paris 15ème publie une liste d’insectes prédateurs: mais seule la libellule prédate les adultes, et non seulement les larves aquatiques:
1. Coléoptères aquatiques
2. Libellules
3. Chaoboridae
4. Notonectes
6. Toxorhynchtes : un autre moustique, non hématophage, mais qui dévore les larves des moustiques. vecteurs)
Notonectes et autres coléoptères aquatiques (qui respirent sous la surface, un peu comme les larves de moustiques), mangent aussi des larves de libellule.
suit 3 articles-en-un: libellules, moustiques et pipistrelles (dont titre en rouge):
– Une libellule adulte chasse en vol 600 insectes/jour, principalement des mouches et moustiques.
Les larves de libellules vivent sous l’eau où elles mangent également des larves de moustiques, et parviennent à l’état adulte en 2 à 5 ans de vie aquatique. Faut il préciser que si la pièce d’eau est bouleversée dans cet intervalle, la larve ne parviendrait pas à l’état adulte.
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espèce à protéger:
Depuis décembre 2021, les libellules figurent sur la liste rouge des espèces menacées établie par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), organisation non gouvernementale qui fait référence dans le milieu scientifique.
À l’échelle mondiale, on estime à 16 % (6 016 espèces ont été étudiées) la proportion d’espèces menacées, volume atteignant les 25 % en Asie du Sud et du Sud-Est. Une étude datée de 2016 avait enregistré pour la seule France métropolitaine une menace de disparition pesant sur une vingtaine d’espèces de libellules sur 89. L’homme assèche des zones humides et défriche des forêts pour y développer des cultures, comme celle du palmier à huile, ou pour construire des habitations. L’usage des pesticides et le changement climatique sont des causes également identifiées.
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Possibilités à explorer pour favoriser les libellules?:
Les insecticides naturels, moins rémanents que les chimiques qui tuent davantage les prédateurs que les insectes visés.
privilégier les grandes pièces d’eau permanentes sans les perturber (sans les “nettoyer” certains diront-ils),
Ne pas introduire de poissons et prévoir assez de profondeur pour que certains oiseaux n’aient pas “pied”, ou grillager… afin de réduire la prédation des larves de libellules: mais elles se cachent assez bien.
Introduire des proies détritivores telles les aselles
Les ennemis des libellules sont les divers poissons, grenouilles et oiseaux d’eau qui mangent les larves. Certains oiseaux en font une grande consommation. Le martin-pêcheur et les bergeronnettes capturent larves et adultes, de même que la fauvette des roseaux.
la larve de libellule se nourrit de la larve de la grenouille (le têtard), tandis que la libellule adulte se fait manger par la grenouille.
Les chats capturent également les libellules au stade de la mue, lorsque la larve sort de l’eau et passe des heures à muer, sécher et se transformer en adulte. Il convient donc d’imaginer des supports plus difficiles d’accès pour cette sortie de l’eau: tels que des iris émergeant au milieu, à plus d’une longueur de patte de chat par rapport aux bords. (et donc aussi à plus d’une longueur de langue de grenouille).
au débuts d’un nouveau bassin: comment éliminer les larves de moustiques lorsqu’il n’y a ni poissons, ni encore de larves de libellule (stade préliminaire de la ponte des libellules)?
Après quelques mois de stabilisation biologique, les bassins comportent naturellement les prédateurs des larves de moustiques. C’est le cas des coléoptères aquatiques – comme les dytiques – et/ou des larves de libellules.
En attendant, une couverture totale de la surface avec des lentilles d’eau, éxcluent les larves de moustiques.
Le bacille thuringiensis israelensis appelé BTi est une bactérie isolée du sol qui a un pouvoir insecticide NATUREL et sélectif sur les diptères (grande famille dont font partie mouches et moustiques). Les diptères ont deux ailes, contrairement à la libellule qui en a 4 (groupe des odonates).
Son action : parasiter les larves de toutes les espèces de moustiques (dont le moustique tigre).
J’y ai renoncé: des naturalistes disent que ce serait résilient et à ne pas mettre en milieu naturel, et que ça élimine toutes les chenilles, et perturbe le biotope.
voici pourtant ce qu’on lit sur un site marchand:
Les avantages
Il est sans danger pour le reste de la faune qui vit dans et autour de nos bassins, y compris tous nos animaux domestiques.
Il est sans conséquence pour le reste de la faune qui vit sous l’eau
Facile à employer (des petits granulés à mettre dans l’eau)
Il est actif sur tous les espèces de moustiques, y compris le moustique tigre
Sans danger pour l’homme
Contrairement aux poissons il ne modifie pas la disponibilité en nutriments et donc ne favorise pas le développement des algues.
On arrête le traitement quand on veut, par exemple une fois l’équilibre du bassin atteint et que les moustiques sont contrôlés par la faune du bassin
Il est parfois argumenté que le destin des libellules serait lié au destin des moustiques. Mais au contraire, les libellules peuvent aussi se nourrir de mouches (dans le marais poitevin, il n’y a pas de moustiques mais beaucoup de libellules). Certes, en camargue, l’usage de la bacille antimoustiques a réduit aussi les libellules; mais si vous créez une nouvelle pièce d’eau dans votre jardin, ce n’est pas au détriment des libellules, même si vous n’y élevez pas de moustiques. Ces derniers continueront à se reproduire exactement comme avant: dans les gaines électriques souterraines, fosses septiques, syphons d’écoulements pluviaux, etc etc.
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Autres possibilités à explorer de recettes “antimoustiques”;
– Dans les bassins, on peut ajouter des petits poissons = gambusies (sortes de guppys, comme face a la grande maison); Mais hélas, ils mangent les larves de libellule comme ils mangent les larves de moustiques.
Les Tanichtys (néon du pauvre) ont une plus petite bouche, et pourraient également passer l’hiver sous la glace. En magasins d’aquariophilie. Mais, j’y renonce également: ils mangent des oeufs de libellules. Quoique chez Bilbo, il y a un bassin où ils cohabitent bien.
gambusies adultes. résultat: aucune larve de moustique mais aussi aucune libellule dans ce bassin. le bassin est mal fait: les parois verticales y retiendraient noyé un animal qui y tomberait. Une planche a été posée en diagonale pour remédier au problème. mieux vaudrait des plages en pente douce, par exemple avec pierres ou galets. Les iris d’eau sont trop près du bord, un chat pourrait y attraper les libellules qui y grimpent lors de leur transformation de larve aquatique à adulte, qui dure plusieurs heures de séchage et mue.
En attendant la création du bassin à libellules, et une colonie de pipistrelles (voir “chauve-souris” en rouge plus bas), je regarde encore les solutions à court-terme contre les moustiques:
Des pièces de cuivre dans les flaques d’eau??
Selon mes expériences et ce que j’ai vu sur les forums, les ultrasons et les ultraviolets sont inefficaces.
Nous avons aussi testé des pièges “appâts” olfactifs.
Selon mes 1ères recherches et consultations, Les pièges utilisant un appât constitué d’acide lactique, ammoniaque et acide gras caproique, ou acide lactique et CO2, attraperaient environ 20 moustiques/jour. Le prix va de 80 à 1500€ et les plus efficaces coutent 150€ et non pas 1500€.
Mais le fameux appât est moins efficace que le choix de l’emplacement de l’aspirateur. on attrape presque autant (peu) de moustiques sans appât. Si un de ces pièges attrape 10 moustiques/jour pour 150€/10 ans, une libellule adulte devrait se vendre 750€ (500 moustiques/jour, 1 saison), dans l’hypothèse la plus pessimiste où cette libellule ne pourrait se reproduire…
Bien sur, les moustiquaires sont efficaces… ainsi que les ventilateurs, par exemple au dessous et au dessus d’une table, si tout notre corps est soufflé d’air les moustiques ne peuvent tourner autour…
– Ou la peau: un mélange d’huiles essentielles comme l’eucalyptus citronné, la menthe, ou autre odeur répulsive à laquelle le moustique ne serait pas habitué (10 à 20%) avec de l’huile de salade (sésame, tournesol…) ou une huile cosmétique comestible (cameline, …) à renouveler toutes les 2 heures. A la pharmacie, on trouve des mélanges tout faits à 7€ la version sans chimie.
LA PREVENTION:
– Les fosses septiques et gaines électriques enterrées sont souvent des nids a moustiques: penser à en boucher les extrémités ou aératiions…
Avec la toilette sèche (TS), on contribue utilement à l’humus sans contribuer ni à la pollution de l’eau ni aux moustiques.
Dans les petites flaques d’eau ne pouvant être vidées, telles soucoupes sous pots, collecteurs de pluie,, on peut mettre la bacille de thuringe (Bacillus thuringiensis serotype H14 (=israelensis): 10 à 15€: http://fr.jardins-animes.com/anti-moustique-bio-pastilles-petites-surfaces-vectobac-dt-p-1651.html
– Un truc génial qu’Arnaud a trouvé: changer l’eau d’un seau tous les 3 jours. Les moustiques viennent y pondre, les oeufs sont jetés. Une évolution de cette astuce serait un contenant tel qu’un bambou décoratif, en équilibre sur un axe, alimenté par un goutteur microdébit, basculant après 1 à 3 jours lorsqu’il est plein (sous le loids de l’eau) pour se remettre aussitôt en position initiale grâce à son propre poids lorsqu’il a vidé son eau sur une plante ravie.
On trouve des plans (liens ci-après) pour fabriquer des maisons pour chauve-souris:
Les chauve-souris sont des mammifères, et à part une ou deux espèce d’Amérique du Sud, elles ne sucent pas le sang… Elles sont pour la plupart de petite taille (un doigt), Pipistrelle (4cm! est la longueur du corps avec la tête, sans compter les pattes qui font 3cm ou pattes incluses selon wikipédia, envergure 18cm des ailes déployées – chaque individu vit 17 ans), Oreillard, Vespertilion, la Sérotine étant plus grosse.
Quels sont les insectes chassés ?
Plus de la moitié est composée de diptères, moustiques par exemple. Les papillons nocturnes, pour la plupart ravageurs comme la teigne du poireau, carpocapse, noctuelle, représentent le tiers.
Pour les reste, pucerons ailés ou coléoptères pour les chauves-souris les plus grosses (comme la sérotine).
– Une pipistrelle (petite espèce de chauve-souris) mange chaque fin de journée et nuit, son poids en insectes (jusqu’à 1200/heure et consomme plus de 3000 insectes par nuit !
selon aujardin.info, une seule chauve souris brune peut manger 600 moustiques /heure, et souffre principalement des pesticides).
la pipistrelle mangerait 2000 à 7000 insectes/nuit, meilleur remède contre les moustiques, et si on en trouve une morte il faudrait l’emmener chez les pompiers pour le cas de virus que je n’ai pas bien compris.
L’adoption expérimentale de chauves-souris pour combattre le nombre croissant de moustiques a démarré en 2006 dans la Commune de Fiesole, en collaboration avec les zoologues de la Specola de Florence, en donnant d’excellents résultats : grâce à cette expérimentation, l’usage des pesticides a baissé en protégeant ainsi la santé humaine et en rééquilibrant aussi l’écosystème, en diminuant la mort d’insectes et animaux utiles. En effet, les chauves-souris se nourrissent de moustiques et d’autres petits insectes, elles arrivent à en manger jusqu’à 2000 en une journée, en constituant l’un de leurs plus importants prédateurs.
Guanokalong, guanodiff sont des marques commerciales de guano (crottes) de chauve-souris comme engrais naturel. Les villes pourraient donc installer des nichoirs au dessus des parterres fleuris.
Et comme si une même idée porteuse devait se réaliser simultanément à plusieurs endroits? L’opération nationale « Refuges pour les chauves-souris » est née en 2006 au sein du Groupe Mammalogique Breton.
En Bretagne, l’opération a déjà permis de créer plus de 50 refuges. Les propriétaires s’engagent simplement à ne pas nuire aux chauves-souris et à adopter des produits respectueux de l’environnement des animaux pour la maison ou le jardin.
Face à la dégradation de leurs habitats, elles sont menacées, or elles se nourrissent de moucherons, moustiques, jusqu’à 1200 par heure.
un nichoir collectif attire toute une colonie, c’est le seul moyen d’être efficace. Par exemple sous faitage (elles peuvent se tenir chaud): en dessous, de la terre ou un pot de leurs accueillera leurs déjections fertiles:
Elle abrite les chauves souris pendant la journée et pour hiberner, la chauve-souris pouvant vivre 30 ans (pipistrelle: 17 ans).
Une maison peut abriter plusieurs chauve-souris.
nichoir a pipistrelle, entouré d’une canisse pour rendre le bas inaccessible aux chats, etant donné que le nichoir est placé près d’une branche.
Installation :
A fixer entre 2,5 et 5 mètres du sol, suivant la hauteur du vol des chauves-souris dans votre région.
Suivant la saison ou leur préférence, plusieurs orientations sont possibles : l’idéal est de fixer 3 maisons à Chauves-souris sur le même arbre, l’une vers le nord et les autres vers le sud – sud-est.
nichoir pipistrelle
Utilisation :
Fabriquée à partir de chêne et de mélèze, elle permet une très bonne isolation et assure longévité et protection contre les prédateurs.
Le bois peut se foncer et des fissures apparaître, c’est un processus naturel.
Une porte facilite le nettoyage et l’inspection de la maison
Dimension : 18x10x30cm
nichoir pipistrelle
Maison éthique. Fabriquée à partir de bois certifié FSC (Forest Stewardship Council), ces bois proviennent des forêts où l’exploitation n’a pas généré d’impacts économiques, sociaux et environnementaux négatifs.
Comment bien installer la maison pour la chauve-souris ?
L’installer de préférence en Automne-hiver comme les nichoirs à oiseaux, entre 3 et 5 mètres du sol, abrité des vents dominants.
Bien la fixer à un arbre, une façade de maison ou un garage ouvert, sans obstacle dans un rayon de 5m.
Comme pour les oiseaux, ne pas placer une maison à proximité d’une branche, idéale pour les prédateurs.
Le taux d’occupation dans de bonnes conditions est de 80%, sinon, repositionner une maison non occupée pendant au moins 2 ans.
L’entrée se fait par le bas, et un nettoyage en fin d’Automne est conseillé.
Une ou plusieurs maisons ?
La maison est utilisée au printemps et été comme abri diurne par les groupes de mâles, en été par les femelles pour la reproduction et en hiver pour hiverner.
L’orientation idéale change suivant les saisons. Il est donc recommandé d’en placer 2 ou 3 avec orientation nord ou est pour l’usage estivale, sud sud-est pour l’usage hivernal..
Où trouve-t-on les chauves-souris ?
Sédentaires, elles évitent les terrains découverts (peu de proies) et apprécient la présence d’un plan d’eau (nombreux insectes au dessus) ou autre zone à insectes (lampadaire,…).
Les sites de refuge en zone péri-urbaine sont les fissures et cavités diverses, comme les arbres, murs anciens, derrière les volets.
Pour une Pipistrelle, une fissure de 1,3cm dans un mur suffit à leur installation. Les gîtes doivent être tranquilles, obscurs, de température basse et constante (4 à 11°C), avec une forte hygrométrie.
Quelle organisation sociale chez les chauves souris ?
La naissance des petits a lieu entre fin Mai et mi juillet. Les femelles sont alors regroupées en nurserie dans un gîte collectif, les jeunes sont allaités un mois et sont autonomes vers 6 semaines. Les mâles se regroupent le jour dans des gîtes collectifs.
A l’automne, les chauves-souris chassent beaucoup pour accumuler de la graisse. L’accouplement a lieu également en Automne. Enfin, l’hivernation se produit de Novembre à mars-avril.
Les chauves souris connaissent donc plusieurs gîtes dans l’année, même s’ils visitent souvent les mêmes.
Dangers et recours ?
La diminution et contamination des ressources alimentaires (insectes) alliées à la dégradation de leur habitat – démolition des ruines, rénovation des maisons, coupe du bois mort et arbres creux, fermeture soupirail… réduisent le nombre de chauve-souris.
Au contraire, favoriser l’aménagement d’un jardin naturel,en évitant tout produit de traitement, et l’installation d’une mare même petite, et poser des gîtes peut inverser facilement cette tendance.
j’ai installé 9 nichoirs à pipistrelles, mais je ne sais comment les introduire. selon les associations de protection et soins aux chiroptères, il suffit d’attendre 3 ans qu’elles les découvrent par hazard.
j’ai écrit aux mairies pour les informer de l’expérience de démoustication naturelle a Fiesole en italie.
Au printemps 2015:
– j’envoie des mails aux associations de protection et soins aux chauve souris pour demander leur avis et aide. Conclusion: pour accueillir une colonie, il faut également poser des nichoirs collectifs d’accouplement (accueillant chacun 50 à 250 individus). Je propose devenir “refuge à chauve-souris”: http://www.gcprovence.org/cpr.htm
– j’ai retrouvé 5 mues de libellules sur un iris d’eau du mini bassin à gambusies (donc totalement exempt de larves de moustiques), 5 libellules adultes se seraient donc envolées, mais je ne les ai pas vues voler* et pour manger nos moustiques (1 libellule chasse en plein vol 600 insectes par jour), il en faudrait toute une armée… tout comme dans le village voisin (Eguilles) où le moustique est un fléau.
NB: ces libellules ont échappé à la prédation des bambusies, peut etre car leurs larves étaient déjà trop grosses pour être mangées, lorsque j’ai introduit les gambusies.
* J’espere qu’un chat ne les a pas mangées, pendant leur séchage préalable à leur envol: l’iris d’eau était proche du bord. J’ai déplacé l’iris au centre du bassin.
nichoir a pipistrelle
Le 25/05/2015 j’ai écrit à 25 associations de protection des chauve-souris selon cette liste:
, pour savoir comment mieux les attirer, si elles sont vraiment efficaces en démoustication et si le bruit d’une discothèque les découragerait.
5 mails ne sont pas parvenus au destinataire (LPO Anjou, “SOS chauve-souris Nord-pas-de-calais”, “Groupe chiroptères Languedoc-roussillon”, “Centre de soins Athenas en franche-comté”, et dans le centre: [email protected])
et 13 ont trouvé une réponse,
Selon une conversation tél avec une association locale, Il faut donc faire un nichoir d’accouplement et mettre du guano de pipistrelles pour les attirer.
L’association “OISO” recommande cette liste d’associations:
Nous vous conseillons de vous rapprocher des centres de sauvegardes de votre région dont vous pourrez trouver la liste sur le site suivant http://uncs.chez.com/ ainsi que de contacter la Coordination Mammalogique du Nord de la France, http://www.cmnf.fr/
Cecile Ferrand (GMN Haute-normandie) indique par exemple:
Il faut en général 3 ans … avant que des gîtes soient colonisés. (1)
D’autre part les chauves souris fonctionnent en colonies de femelles l’été qui favorisent les gîtes pouvant accueillir une 50aine d’individus pour des pipistrelles à 250 pour des espèces plus grandes. Les pipistrelles choisissent souvent des sous toitures d’ardoise.
En mi-saison les colonies sont éclatées pour se dispatcher par 2-3 individus de la même fratrie dans des gîtes individuels. Et en hiver les gîtes d’accueil sont très variables et dépendent des températures et de la géologie.
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Laurent Arthur (Bourges) répond notamment:
Les nichoirs ne donnent souvent pas beaucoup de résultats. Il faut en effet qu’une autre colonie quitte son gîte initial pour accepter le vôtre, ou alors, vous aurez au mieux quelques mâles isolés, ça c’est assez facile à obtenir mais vous ne pratiquerez pas une lutte très efficace contre les moustiques
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(1) Geraldine Kapfer, groupe chiroptèes de provence:
Les chauves-souris peuvent mettre plusieurs années avant de coloniser les nichoirs. En Camargue nous en avons construit une quarantaine de grande taille depuis 3 ans et ils commencent à être utilisés régulièrement.
Nous n’avons pas de recul sur les modèles de nichoirs que vous avez installé. En Paca, nous conseillons l’installation des nichoirs D de René Boulay (coordonnées téléphoniques sur internet, il faut l’appeler en soirée), ils fonctionnent très bien. A St Tropez, ils en ont installé des dizaines dans l’optique de démoustication qui ont été colonisés très vite : crise du logement chez les chauves-souris sans doute 😉
L’avantage de ces nichoirs D est le pilulier en verre qui permet de voir si des crottes sont tombées et donc que le nichoir est occupé. Pas besoin de déranger les animaux.
Il faut veiller à ce que le nichoir soit installé dans une zone dégagée car les chauves-souris aiment voler autour du gîte à leur sortie et surtout à l’entrée au petit matin, donc pas trop de branches. Hauteur au moins 3m, bien verticalement, solidement fixé (ne doit pas bouger avec le vent).
(1) ceci a été confirmé pas Magali Lemercier (Bourges),
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selon wikipédia: Même si l’on pose des nichoirs spécifiques pour chauves-souris, il arrive qu’ils soient occupés par d’autres espèces, en premier lieu les oiseaux. Ils occupent ces nichoirs, soit pour y nicher, soit pour y passer la nuit. La mésange charbonnière est la plus fréquemment rencontrée. Le grimpereau construit également de nombreux nids dans les nichoirs à chauves-souris alors que, paradoxalement, il est assez difficile de l’attirer dans les nichoirs à oiseaux. On peut également avoir l’occasion d’observer le muscardin, le mulot et l’écureuil (après agrandissement de l’entrée) établir aussi des nids dans les nichoirs. De très nombreux insectes peuvent occuper ces nichoirs : guêpes, bourdons, frelons, papillons, etc.
Les nichoirs occupés sont orientés Sud, Sud-Est ave
c une hauteur d’installation à plus de 3,50 mètres
et abrités des vents. Ils sont installés dans les m
ilieux péri-urbains en lisières de zones boisées.
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j’ai écrit à 2 organismes de démoustication, sans réponse instructive:
Bonjour,
(…)
L’expérience de démoustication par prédaters naturels, à Fiesole en italie, ou st tropez ou d’autres, ont-t-elle réussi? yatil eu des expériences réussies? grâce a quelles espèces de chauve-souris? de libellules? ou autres?
j’ai installé, en été 2014, 9 nichoirs à pipistrelles (fente de 1,5 à 2cm: la largeur de 2 cm permet l’accès de quelles espèces?) Mais toujours aucune chauve-souris dedans
Depuis l’invasion des romains, la folie des grandeurs domine sur la simplicité et le naturel. Architecture, voies de communication: toujours plus de moyens à mettre en oeuvre, plus vite, plus loin… ce qui donne l’impression que le pays est plus petit!
Au détriment des ressources et de la nature, mais au final, la vie est-t-elle meilleure?
Les hommes cherchent constamment des solutions à court terme mais commencent à se poser la question de leur sens, globalement. En faisant des routes et ponts bien lisses et droits, ils pensaient raccourcir les distances. Mais c’était sans compter sur l’invention de la voiture puis son évolution, qui devait apporter à quelques uns la liberté de diversifier les choix, mais son adoption par tous conduit à la disparition des commerces de proximité et rend la voiture obligatoire pour s’approvisionner chez les distributeurs plus éloignés qui prennent davantage de pouvoir et de monopole. La course au travail et aux prix se fait alors au détriment des ressources et du temps passé avec la nature, avec quel bénéfice?
J’avais un peu de temps à perdre pour écrire cette légende inspirée de faits réels, lors d’un passage en ville. A propos de .
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1- Un havre de nature originelle
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Quelque part sur le plateau de Puyricard, en limite nord-ouest de la commune d’Aix-en-Provence, sauvages comme “le jour de la création”*, se trouveraient un village gaulois et un havre de nature. Son propriétaire, pour des raisons bien personnelles, a souhaité rester anonyme. Pronostix y cherche des formules de vie pour inspirer la culture romaine arrivée au pied du mur après avoir épuisé 80% des ressources de la planète.
Su en apparence “du bout du monde” mais ayant toujours été habitée, y compris par écureuils, chauve-souris, hérissons et araignées… Du nom d’un instrument à vent ressemblant à une trompette, dont jouait peut-être un voisin extravagant?
Il faut demander et imprimer un plan-photo aérienne en PDF pour la trouver… (!ceux qui ont essayé de venir sans le plan n’ont jamais trouvé!)
Y seraient proposés quelques logements à la location puis a la vente.
Comme toutes cultures, les gaulois auraient beaucoup changé depuis l’invasion romaine. Ils ne chercheraient plus la bagarre. La plupart auraient tant d’admiration pour la vie qu’il n’aimeraient plus chasser et certains préfèreraient les fruits donnes par les arbres aux aliments cuits par le feu.
Expérimentation de plantes et solutions pratiques d’intérêt général ;
L’homme contribue positivement en devenant partie intégrante à la nature
Mieux que de réduire mon « empreinte écologique » (négative), j’augmente mon impact positif
La blanquette (marseillaise) résiste mieux à la sécheresse, ses petites figues sèchent sur l’arbre.
Tolèrent la sécheresse:
noire de caromb = Perroquine ou Douquiera negra
marseillaise = de marseille = blanquette = couilleddu pape = d’athènes = grise de marseille = lipari
violette de bordeaux = negronne = figue de bordeaux
sultane = bellone = noire de nice, noire de juillet…
mais les figuiers plantés ou bouturés, contrairement aux semis, nécessitent un arrosage régulier pendant de longues années (10, 15) avant de devenir autonomes en puisant l’eau dans le sous-sol..
Les figuiers tolèrent l’excès d’eau selon http://www.greffer.net/discussion/viewtopic.php?p=58677#p58677
Un incontournable que nous ne fournissons pas tant les pépiniéristes le font.
La figue est le plus ancien fruit domestiqué. On a découvert, en 2006 dans la vallée du Jourdain, 9 figues vieilles de
11 400 ans ! selon: http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/19/780774-un-figuier-pour-sortir-de-l-hiver.html
Il n’a pas fait l’objet de programmes de sélection tant ses variétés issues de temps immémoriaux sont excellentes (selon un pépiniériste de Carpentras).
Il se bouture bien, à condition de ne laisser dépasser du sol que le seul bourgeon terminal. Le substrat peut être léger ou lourd. il vaut mieux couper là où le bois n’est pas creux, notamment près d’une excroissance de la branche.
On peut même enterrer une branche entière, afin qu’elle soit enfouie si profondément qu’elle ne mourra pas d’un temporaire oubli d’arrosage (au début le figuier est fragile tant que son système racinaire n’est pas bien développé).
On peut démarrer sous cloche (bouteille coupée et réassemblée, vivarium, etc) dans une maison à 20°C pour passer de 60 à 90% de réussite, mais chaque changement est difficile et parfois fatal surtout si on le plante alors que les nuits sont fraiches. Donc je préfère une bouture directe en pleine terre à emplacement définitif avec un goutteur de micro arrosage pour un arrosage quotidien. Afin que le sol soit toujours humide sans être détrempé, il faut placer le goutteur 1L/H à la bonne distance (suffisante) par rapport au pied, afin d’éviter la noyade ou asphyxie des racines. ou mettre un programmateur avec un goutteur plus gros ou pas de goutteur ce qui résoud le problème de son entartrement; face au trou destiné au goutteur, pour casser le jet, on place alors une tuile ou pierre ou portion de tuyau plus gros.
Le mieux est de bouturer en hiver mais ça peut réussir en toutes saisons (en cassant le pétiole près de la branche pour retirer les feuilles, quelques minutes au moins avant de couper la branche, laissant le temps à la cicatrisation (que le latex ne sorte plus) pour que la branche garde ses réserves. Certains enterrent même la branche à l’envers, pour que plusieurs branches soient enterrées disposées comme des racines: sortent de terre la coupe et un seul bourgeon.
On peut enterrer la base du tronc, surtout à la plantation pour une meilleure reprise, puis si necessaire un peu plus chaque année.
Les premières années:
il faut un arrosage très régulier. La moindre soif et il perdra ses feuilles, mais si les bourgeons sont encore verts il n’est pas trop tard, arrosez régulièrement et et fera de nouvelles feuilles.
Les vieux figuiers bien établis résistent à la sécheresse.
Un sol lourd humide tend à encourager la croissance excessive des plantes au détriment de la production de fruits [1]. Préfère une position très ensoleillée mais tolère l’ombre une partie jour. La croissance supérieure est sensible aux dégâts dus au gel et peut être tué de nouveau à la base dans les hivers rigoureux, bien que les plantes guérissent habituellement bien [3]. Les arbres ont besoin de la protection d’un mur plein sud ou à l’ouest dans la plupart des régions de la Grande-Bretagne si elles doivent produire une culture digne d’intérêt [3, 219] si les arbres autoportants peuvent réussir à Cornwall [59]. Il y a un petit verger d’arbres isolés dans le jardin Anthony près de Plymouth. Ceux-ci ont été vus en Juillet 1995, avec une culture très forte de fruits mûrs n’aurait été prêt en Août [K]. Les figues sont très largement cultivées dans des climats plus chauds que la Grande-Bretagne pour leurs fruits comestibles, il y a beaucoup de variétés nommées [183]. Brown Turquie ‘est le cultivar le plus cultivé en Grande-Bretagne et est probablement le plus approprié pour ce climat. « White Ischia » est un cultivar nain (mais il peut être arrêté cinq mètres de haut et de large) et est idéal pour la culture en pot [238]. Il produit une abondance de fruits à peau fine vert-blanc [238]. Jusqu’à trois cultures de fruits par an peuvent être obtenus dans certains pays [46]. Lorsqu’il est cultivé en plein air en Grande-Bretagne une seule culture est généralement obtenue, mais sont parfois produites dans les années chaudes exceptionnellement deux cultures. Le fruit prend habituellement environ 12 mois pour mûrir en Grande-Bretagne, les fruits de bébé ne dépassant pas environ 15 mm de long à l’automne hibernent généralement pour former la culture après des années de fruits. Si les plantes sont cultivées dans des pots dans une véranda ou une serre froide, deux cultures de fruits peuvent être obtenus, un au début de l’été et un en fin d’été à l’automne [260]. Pincez les nouvelles pousses à six feuilles afin d’encourager la deuxième culture [260]. (dans un climat très pluvieux) Il est une bonne idée de limiter les racines des figuiers sur la plupart des types de sol afin de décourager la croissance végétative excessive au détriment de la production de fruits [3]. Cela peut se faire par la taille des racines, mais il est plus facile de placer une sorte de restriction permanente autour des racines – la plantation dans une grande baignoire n’est ensuite enfoui dans le sol est une méthode. propagation Semences – sèment au printemps dans une serre chaude. Piquer les plants dès qu’ils sont assez grands pour manipuler et pendant l’hiver les jeunes plantes dans une serre pendant au moins la première année. Plantez à la fin du printemps après la charge prévue du gel et de donner une certaine protection pour leur premier hiver à l’extérieur. Boutures de bois mature 10 – 12cm avec un talon, l’hiver dans un cadre. Assez facile, mais les boutures doivent être conservés sans gel. Il est probablement mieux si les boutures sont mis dans des pots individuels [78]. stratification
Les commentaires sont ouverts pour les développements intéressants:
Si je devais résumer mes préférences en 2 mots: simple et naturel. Définissant le plus souvent les choix les meilleurs: pour la santé (de soi et de la terre), pour l’intérêt général, et pour leur prix.
Choix ou expériences parmi lesquelles je recommande: marcher et/ou dormir au contact de la terre et de la nature, manger cru et vrai…Favoriser la vie et la nature…Permaculture sans labour sur bois ou BRF, toilette à compost…
Le luxe absolu: dormir au contact des éléments et de la lumière lunaire. 3€/M2.
Nous serions non seulement respectueux, mais encore utiles à la nature. Fertiliser les arbres ou faire du compost au lieu de déféquer dans notre eau de boisson, semer jusqu’à 5000M2 d’arbres fruitiers par repas naturel pris dehors sans assistance ni exploitation, en sont les exemples les plus efficaces.
J’observe que presque partout, la cuisine est au centre des préoccupations et du temps passé tant à la maison qu’à l’extérieur. Je précise que chacun à l peut c®uisiner tant qu’il le voudrait… avec ou sans feu. Je gagne un temps fou en mangeant au maximum des fruits, ces cadeaux des arbres, parfaitement et longuement préparés, emballés par une peau hygiénique et biodégradable, sains et vitaminés, qui se détachent à maturité (et qui pourriraient s’ils n’étaient mangés).
Je ne m’enferme pas non plus, ni dans l’idée qu’il faille “manger un peu de tout”, ni dans l’idée qu’il faille manger à 100% cru. Je m’adapte parfois à des régimes cuits de survie plus pauvres et austères.
(illustration: encart de texte plus petit)
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Simple et naturel
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le contact de la terre:
Marcher pieds nus dans la forêt, c’est déjà un luxe.
Notre expérience de dormir au sol sous serre ou simple moustiquaire fut une révélation.
J’emprunte ce qui suit à un fabricant de yourtes et si qqun le (se) reconnait, j’ajouterais bien volontiers ses références: je ne l’ai pas retrouvé sur le web, désolé!
“L’énergie de la terre est plus puissante que l’on ne le soupçonne. Plancher sur pilotis, ou couche au sol sur un tapis de paille ou fougère: S’il vous faut vivre les deux pour comprendre, n’hésitez pas, ce n’est qu’une décroissance logique. Mais lorsqu’on à vécu à même la terre, on adopte. Parce que l’on bouillonne d’énergie de la tête aux pieds, on se lève tôt sans y penser, on mange moins sans s’en rendre compte, on est très actif, très créatif, très positif dans nos idées, nos choix, nos façons de régler nos « pseudos problèmes ». L’efficacité se ressent dans tout domaine.
Après avoir fait quelques recherches et posé de nombreuses questions, il revient dans de nombreuses cultures partout dans le monde, que l’énergie de la terre dépasse le sol d’une vingtaine de centimètres. S’élever au-dessus est perdre ce contact vivant.
Vivre sur du bois présente un aspect sain, c’est indéniable. Mais il est sain en comparaison des matériaux de maisons habituelles, d’appartement, de tout lieu de vie citadin ou rustique. En comparaison, oui, c’est bien mieux un plancher de bois sain, que du béton, de la pierre trop froide pour notre corps, de briques, de carrelage, des différentes matières plastiques… Mais nous restons encore sur de la matière morte. ET nous sommes déconnectés du sol. La terre fonctionne comme une masse nous ôtant toute l’électricité statique possible que notre corps emmagasine suite aux approches des machines, ampoules, écrans, téléphones, ondes artificielles qui assèchent constamment notre corps. En plus de nous libérer très rapidement de cette électricité néfaste, elle libère constamment de la force de vie. Pour ceux qui connaissent le procédé de photographie des auras, les photos à effet kirlian, vous pouvez voir l’aura de chaque chose, et celle de la surface du sol nous fait prendre conscience que s’allonger au sol est un véritable bain d’énergie vitale.”